Hello ! Aujourd’hui, je vous parle du premier tome d’Eldrid, un service presse gracieusement offert par HLAB. Merci de votre confiance !
Titre : Eldrid
Auteure : Camille Endell
Genre : Roman historique
Maison d’édition : HLAB
Nombre de pages : 280
Résumé : Angleterre, XIe siècle. Les combats entre Saxons et Vikings ravagent le pays tout entier. Eldrid est née saxonne, mais a été capturée très jeune par les hommes du Nord. Elle a grandi au sein d’un clan viking et nourrit depuis toujours un amour défendu pour Erling Bjarnason, le chef de la horde. Alors qu’un raid saxon approche, ceux qu’elle considère désormais comme les siens décident de partir pour le Danemark. Mais un affrontement sanglant survient, et seule Eldrid, du fait de ses origines, échappe au massacre. Elle est recueillie par Godwin, un soldat saxon. Pour lui, elle est une captive qu’il vient de libérer. Pour elle, il est l’homme qui a exécuté ceux qu’elle aime. Pour survivre, Eldrid devra choisir. Liens du cœur ou liens du sang ? Dans un pays déchiré par la guerre, il n’y a pas de compromis possible…
Je connais l’auteure de ce roman depuis quelques années grâce à Wattpad. Lorsque j’ai appris qu’elle était éditée chez HLAB, j’ai tout de suite voulu lire son livre, mais je n’ai jamais eu l’occasion de le faire… jusqu’à ce que la maison d’édition l’offre en service presse. Je me suis tout de suite jetée dessus !
Ce roman est superbe. Je ne suis pas fan des romans historiques (j’ignore pourquoi, j’adore l’histoire pourtant !), mais ce récit au temps des Vikings m’a beaucoup plus. C’est un sujet qu’on ne voit pas beaucoup, et c’est ce qui rend ce roman particulièrement intéressant. On n’a pas l’impression de relire du déjà-vu, et on apprend pas mal en lisant l’histoire, ce qui est super. Il y a eu pas mal de recherches sur l’époque et cela se ressent, sans être lourd à la lecture.
J’ai particulièrement aimé avoir le point de vue des barbares et des anglo-saxons, plutôt que voir un seul côté de la médaille. Du coup, notre cœur est déchiré entre les deux peuples, tout comme Eldrid, et on se sent encore plus investi dans l’histoire.
J’ai bien aimé les personnages, notamment cette fougueuse Elrid et sa loyauté légendaire. Je me suis beaucoup attachée à elle, les descriptions de ses émotions m’ont aidée à bien me glisser dans sa peau. Le style d’écriture de Camille est toujours aussi fluide et entrainant, ça se lit tout seul ! La qualité éditoriale est très bien, les erreurs sont rares, et cela nous permet une très bonne lecture.
La seule petite chose qui m’a un peu dérangée, c’est qu’il y a beaucoup de descriptions et assez peu de dialogues. J’aurais aimé avoir un peu plus de dialogues pour que cela ajoute du dynamisme et pour connaitre encore mieux les personnages. Heureusement, il reste deux autres, alors je ne les quitte pas tout de suite !
Bref, ce premier tome est pour une très bonne lecture. Moi qui ne suis pas fan des romans historiques, j’ai adoré celui-là. Le style d’écriture est superbe, des recherches ont été effectuées pour amener du dynamisme et les scènes de combats sont très bien décrites. Je suis prête à lire le tome 2 !
Aujourd’hui, on parle avec une auteure wattpad (bientôt éditée !) que j’aime beaucoup, soit Li_mona_de !
– Peux-tu te présenter ?
Je suis une toute jeune auteure qui écrit sous le nom de Li_mona_de sur Wattpad. Mon véritable prénom est Mona, d’où le jeu de mots de mon pseudo. Je serai étudiante en Histoire à la rentrée et je suis une passionnée. Une passionnée d’écriture, de lecture, de dessin, de théâtre et d’équitation qui manque de temps pour s’adonner à toutes ces activités. Rien de plus qu’une passionnée, donc.
– D’où te vient la passion de l’écriture ? Depuis quand écris-tu sérieusement ?
J’écris depuis toujours. J’écrivais déjà à l’école primaire et lisais mes ébauches, maladroites et criblées de fautes, à mes petits camarades de l’époque. Depuis, après dix années d’écriture, les petites histoires d’une dizaine de pages ont laissé place à des intrigues plus conséquentes et des projets plus concrets. J’écris tous les jours depuis quatre années maintenant et ça n’a que nourri ma passion pour l’écriture. J’écris avec la même passion que lorsque j’étais enfant, c’est la seule chose qui est restée identique.
Pourquoi s’être inscrite sur Wattpad ? Qu’est-ce que cette plateforme t’a apporté ?
Je ne me rappelle plus exactement pourquoi. Mon inscription date de plusieurs années et je m’étais probablement créée un compte pour la lecture. La plateforme m’a beaucoup apportée. J’y ai fait des rencontres formidables et les critiques, qu’elles proviennent d’échanges d’avis ou de concours, m’ont permis de progresser. J’ai pu remettre en question des pans de mes intrigues, ma narration, mes dialogues, tout. Je dois énormément à Wattpad et si j’ai pu avoir des expériences plus mitigées, ça ne peut entacher ces quelques belles années sur cette plateforme. J’ai aussi pu me construire, souvent très difficilement, un adorable lectorat dont les avis me sont très précieux. J’y puise une grande part de ma motivation.
– L’un de tes romans, Near The Sky, est sous contrat d’édition. Comment t’es-tu sentie lorsque tu as appris la nouvelle ?
Comment je me suis sentie ? J’ai pleuré. Ah oui, de vraies larmes et pas qu’un peu. J’ai pu compter sur ma très chère jumelle pour immortaliser l’instant. Pour être honnête, je n’y croyais pas. J’ai envoyé Near the sky sur un coup de tête, sans grand espoir de réussite. J’ai cru à une erreur lorsque j’ai reçu le mail d’acceptation. C’était un rêve d’enfant qui se réalisait et mon premier contrat restera un moment que je n’oublierai pas.
– Parmi tous tes romans, y en a-t-il un que tu préfères ? Pourquoi ?
Oh, question difficile ! Ils possèdent tous une place différente dans mon cœur. Near the sky, par exemple, m’est précieux parce que j’y couche une part de mon ressenti. J’y parle du coming out, de l’acceptation et de la construction de soi. Ce sont des messages importants à mes yeux. Instincts est mon plus vieux projet. Je l’ai commencé au début de mes années collège et la saga a vécu de multiples transformations et réécritures (je garde chaque version précieusement). Ce projet a donc une place importante à mes yeux. Au diable les anges est mon premier gxg et est un défi au niveau de son intrigue, je creuse beaucoup l’action alors que ce n’est pas quelque chose que je pense maîtriser. Cœurs en cage est un projet moins ambitieux, plus un défouloir, je dirais. Si je devais donner ce que je pense être le plus abouti de tous mes projets, je pense que je citerais Longue vie au roi. C’est un des premiers romans où je trouve mon intrigue réussie et où je pense avoir mis le doigt sur un bon équilibre. C’est une histoire qui me tient très à cœur et que je pense un cran au-dessus de ce que j’ai pu proposer avant.
– As-tu prévu de faire éditer (ou même auto-éditer) tes autres romans ?
Oui. J’aimerais les proposer tous, mais j’attends de finir les sagas (en particulier Longue vie au roi, puisque j’ai la trame précise en tête) avant de me lancer pour ces projets. Je suis cependant en train de mener une réécriture pour Cœurs en cage, une histoire dont l’écriture a bien deux ans et qui mérite un bon nettoyage. J’espère pouvoir l’envoyer à plusieurs éditeurs d’ici septembre. Ce serait l’idéal. Pour le reste, ce n’est pas encore pour dans l’immédiat, mais je repère déjà quelques maisons d’édition sympathiques qui pourraient m’intéresser.
– Quelle est l’étape la plus difficile pour toi pendant la création d’un roman. Pourquoi ?
Je dirais que rien n’est vraiment facile. Pour ma part, je pense avoir plus de mal à relier les points d’intrigue entre eux. J’ai souvent des éléments précis en tête, mais leur donner un ordre logique, les rendre cohérents et les enchaîner est parfois plus difficile que le reste. J’ai aussi parfois peur des temps morts dans mes intrigues et la conception de celle-ci, sachant que je suis incapable de faire un plan et de lui suivre, est souvent très compliqué pour moi. Ce sont des choses plus compliquées que d’autres dans la conception d’un roman à mon humble avis.
– Sur quels projets travailles-tu en ce moment ?
Je travaille donc sur la réécriture de Cœurs en cage de manière assez intensive puisque j’aimerais l’envoyer courant du moins de septembre. Je me concentre également sur le deuxième tome de Longue vie au roi qui approche déjà de la fin en à peine quelques cinq mois d’écriture et sur le second tome d’Instincts qui avance plus doucement, mais je suis enfin lancée, ce qui est plutôt rassurant pour une saga de cette envergure. Enfin, j’écris (et approche enfin du terme de) Cueillir les étoiles, une fanfiction Harry Potter qui s’implante durant la seconde guerre mondiale. Instincts est donc une saga fantastique plutôt complexe qui met en lumière la guerre perpétuelle du Bien contre le Mal à travers des divinités et des humains. Des humains qui sont au service de ces Dieux et qui combattent en leur nom. Un résumé grossier pour dresser les grandes lignes. Longue vie au roi est une médiévale fantaisie sans dragons ni créatures surnaturelles, mais avec un roi, Lyssandre, qui n’a jamais convoité le trône. Il est forcé de succéder à son père au décès de ce dernier et va implanter la marque d’un pouvoir nouveau. Ce sont les projets qui occupent mes pensées en ce moment, bien que je commence déjà à réfléchir à d’autres romans, dont deux qui en sont déjà à un stade de recherches bien avancés. Autant dire que j’ai encore du pain sur la planche et de la matière à travailler !
Tu as commencé à écrire sur Wattpad et t’y trouves toujours. Comment trouves-tu cette plateforme d’écriture ?
J’écrivais avant Wattpad, mais je dois dire que cette plateforme a été un vrai tournant dans ma vie d’autrice. J’y ai rencontré des personnes formidables, j’ai eu la chance d’y être repérée plusieurs fois par des maisons d’édition. Je dois énormément à Wattpad.
Je trouve ça génial de pouvoir échanger avec un lectorat, d’avoir les ressentis des lecteurs au fil des chapitres, mais aussi leurs suggestions, leurs conseils. Je n’avais jamais osé faire lire à quiconque mes écrits, et poster sur Wattpad m’a donné l’opportunité d’être lue et d’avoir enfin des retours sur ce que j’écrivais.
Il y a évidemment une grande part de hasard et de réseautage dans Wattpad, qui peut décourager. Un très bon livre pourra avoir deux ou trois lecteurs, une histoire mal écrite des milliers. Il faut lire pour être lu, et il faut parfois chercher longtemps pour trouver une œuvre qui nous accroche (toutes les histoires ne sont pas forcément de qualité). Et il y a évidemment, comme partout sur le net, la menace du plagiat. Mais pour l’heure, Wattpad ne m’a apporté que du positif ; j’espère que ce sera le cas encore longtemps, et je ne peux qu’encourager ceux qui voudraient être lu à poster sur cette plateforme.
– Tu es l’auteure de la trilogie Eldrid publiée chez HLAB. Comment s’est passé ton passage d’auteure wattpad à éditée?
J’ai été contactée directement sur Wattpad par mon éditrice. De ce point de vue, la transition a été assez fluide, puisque je n’ai pas eu à envoyer mon texte à des maisons d’édition, à attendre des réponses.
Tout s’est très bien passé, et surtout s’est déroulé vite ! Quelques semaines après la signature du contrat, je commençais les corrections éditoriales. La publication des trois tomes s’est étalée de novembre 2019 à février 2020 : en quelques mois, je suis passée d’autrice wattpadienne à autrice d’une trilogie publiée. Par moment, j’ai encore du mal à réaliser haha.
Lorsque j’ai annoncé que la trilogie était passée sous contrat d’édition, mes lecteurs se sont montrés très enthousiastes. Le fait d’avoir déjà été lue sur Wattpad avait un côté « rassurant », car je savais que ma trilogie avait été appréciée. D’un autre côté, j’étais anxieuse, car cela ne signifiait pas forcément qu’elle allait être lue et aimée par des lecteurs extérieurs. Cependant, depuis le stress des premiers retours (positifs, à mon grand soulagement) passé, ce n’est que du bonheur !
– Après avoir vécu le processus éditorial, qu’en penses-tu? Est-ce ce à quoi tu t’attendais?
J’en ai une vision très positive, ce fut une belle expérience. L’étape des corrections, notamment, est très formatrice du point de vue de l’écriture. J’ai pu repérer les fautes que je faisais fréquemment, je prête désormais bien plus attention, par exemple, aux répétitions dans mes textes.
M’étant renseignée sur le sujet, ayant des ami(e)s auteur(e)s et des connaissances sur le monde de l’édition par mes études, j’avais déjà un petit aperçu de ce qu’était le processus éditorial, même si chaque maison a sa façon de fonctionner. Ma plus grande surprise a sans doute été la rapidité du processus, puisque comme je le disais mes trois tomes sont sortis de façon rapprochée : un roman à peine sorti que je m’attelais déjà aux corrections du suivant. J’ai toutefois beaucoup apprécié cette dynamique.
– Peux-tu nous présenter cette trilogie?
Eldrid est une trilogie historique, qui se déroule en Angleterre lors des dernières invasions vikings, au tout début du XIe siècle.
Eldrid est une esclave saxonne qui a grandi depuis son plus jeune âge parmi les Danois. Lorsque son clan est attaqué par les Saxons afin d’éliminer la menace danoise qui pèse sur l’Angleterre, elle se retrouve prise dans les rouages de la guerre, et devra tout faire pour survivre, tiraillée entre les liens du sang et les liens du cœur.
– Tu as d’autres romans complétés sur ton compte Wattpad. Penses-tu un jour les présenter à une maison d’édition?
Mes romans complétés datent d’il y a trois ans (pour le plus récent), achevés avant que je ne commence l’écriture d’Eldrid qui m’a occupée pendant deux ans. J’ai beaucoup évolué depuis leur rédaction. Ils plaisent toujours aux lecteurs, mais ne me correspondent plus forcément tout à fait. Si un éditeur se montrait intéressé, je dirais certainement oui, mais pas sans avoir d’abord pris le temps d’effectuer un gros travail de réécriture !
Je préfère me consacrer à des projets plus récents, pas encore terminés, qui me correspondent davantage.
– Sur quel projet littéraire travailles-tu en ce moment?
Cette année, en parallèle des corrections éditoriales de ma trilogie, j’ai écrit un gros roman, Les Siècles Obscurs, mélange de science-fiction et de fantastique, qui est en cours de publication sur Wattpad mais dont le premier jet est achevé. Je suis en train de le retravailler car il a été très complexe à écrire. Je pense tenter à nouveau ma chance en édition pour celui-ci.
Côté écriture, je peaufine le plan et commence la rédaction d’une saga de fantasy qui n’a pas encore de titre. Probablement une duologie. L’univers, que je prends beaucoup de plaisir à créer, est inspiré du 17e siècle, et l’intrigue devrait se dérouler dans un Canada fictif. Le projet arrivera durant l’été sur Wattpad !
– Où te vois-tu dans cinq ans?
D’un point de vue professionnel, j’entre en master d’édition à la rentrée prochaine dans le but de devenir éditrice, et je me vois donc assez logiquement travailler dans une maison d’édition dans cinq ans. Peut-être même fonder ma propre structure, qui sait.
Toutefois, je sais que je n’abandonnerai pas pour autant l’écriture ! J’espère avoir l’opportunité de signer d’autres contrats d’édition dans les années à venir.
J’aimerais aussi me former et explorer d’autres formats en création littéraire, en plus de l’écriture de romans. Ce qui est certain, c’est que dans cinq ans, je serai toujours devant mon ordinateur, à écrire !
On se retrouve aujourd’hui pour un service presse de HLAB, soit Little Shade.
Titre : Little Shade
Auteure : Maeva Bonachera
Genre : Fantastique
Nombre de pages : 525
Maison d’édition : HLAB
Résumé : Depuis sa naissance, Bastet peut se transformer en jaguar, une capacité qu’elle et sa famille ont toujours pris soin de cacher. Mais depuis son déménagement à Exeter, Bastet ne cesse de croiser le même homme. Un homme qui semble savoir à son sujet des choses qu’elle-même ignore… Elle croyait être unique, elle se trompait. Son secret n’en est plus un. Dorénavant, où qu’elle ira, le danger rôdera.
J’ai vu plusieurs fois l’auteure passer dans mon feed Instagram puisqu’elle est abonnée à mon compte, et c’est seulement en cliquant sur son profil que je me suis rendu compte que son roman venait de sortir… il me fallait donc le lire ! Et je suis ravie que sa maison d’édition m’offre la possibilité de découvrir cette histoire.
On fait donc la connaissance de Bastet, une jeune femme qui déménage et ouvre sa petite boutique. Elle a toujours vécu avec une deuxième part d’elle, une part jaguar, et a dû s’y adapter. Mais un jour, elle apprend qu’elle n’est pas la seule à vivre ainsi…
Premièrement, la couverture est superbe, on a envie de se glisser tout de suite dans cette histoire de métamorphes et d’aventures. Je me suis tout de suite laissée emporter par la plume très fluide de l’auteure et ses belles descriptions, notamment au niveau des émotions. C’est la première fois que je vois les descriptions des émotions du personnage principal aussi bien décrites et approfondies ; c’est génial, ça permet de bien se glisser dans la peau des personnages !
Chapeau aussi au travail éditorial qui est impeccable et nous permet de nous immerger pleinement dans cet univers de métamorphes, de tentatives de meurtres, de mystères et de dangers. Même si le roman est assez long à démarrer, à partir de la moitié de l’histoire on embarque à fond dans l’histoire et le suspense est à son comble. On n’oublie pas les émotions au profit de l’action, et c’est ce que j’ai beaucoup aimé. Il est donc facile de s’attacher aux personnages, mention spéciale à Mimir que j’ai ADORÉ !
Par contre, les 250 premières pages sont longues, très longues. Ça prend du temps avant d’entrer dans l’action, et les descriptions sont longues et se répètent beaucoup dans la première partie du roman. J’ai malheureusement sauté plusieurs pages parce qu’elles se répétaient et que je voulais un peu plus d’action ! Heureusement, passée cette première page, on a le droit à plus d’action et on ne peut plus quitter l’histoire.
En conclusion, un roman intéressant qui traite de métamorphes d’une façon intéressante, mais qui est loin à démarrer et un peu répétitif !
Hello ! Aujourd’hui, je vous parle de mon dernier service presse, envoyé par une jeune auteure auto-éditée. Merci encore à elle pour l’envoi papier !
Titre : Forgive Me
Auteure : Ari Augustin
Roman auto-édité
Genre : Romance
Nombre de pages : 356
Résumé :
« — Seulement, rappelle-toi que tu ne trouveras jamais une femme plus parfaite que moi, Adam. Il ricana, amusé. — Tu es narcissique, ma Beauté. Vexée, je tapai mon index sur son torse en répétant chaque syllabe pour qu’il enregistre : — Jamais. »
Lya Emilie James n’est nulle autre que la magnifique épouse du richissime duc anglais, Adam Larry James. Créatrice de mode renommée, femme de caractère, attitude de garce hautaine et un brin folle, on peut très bien croire qu’elle mène une vie de reine.
Seulement, quand on y fait bien attention, on constate qu’elle vit dans les bris du scandale qui emporte peu à peu son mariage vers la dérive. En froid avec son mari qui enchaine les maîtresses et qui refuse le divorce, elle essaye par tous les moyens de retrouver grâce à ses yeux pour se faire pardonner. Jusqu’au prochain coup bas d’Adam…
Mais alors qu’elle lui déclare la guerre, revendiquant ainsi son respect, son trône et ses droits, les choses prennent une tournure différente qui sème le doute dans son esprit.
Qui disait qu’être parfaite rimait à être une bonne épouse ?
Premièrement, parlons de cette magnifique couverture ! Elle est probablement l’une des plus belles de ma bibliothèque et j’ai déjà hâte de voir à quoi ressemblera celle du tome deux… Et aussi, il y a de superbes illustration à chaque début de chapitre, elles sont superbes. Je vous le dis, c’est plus qu’un roman ; c’est une œuvre d’art !
Certains le savent, je suis plus difficile en matière de romance parce que j’aime qu’on sorte des sentiers battus. Et c’est exactement ce que nous propose ici l’auteure ! Pour ma part, c’est la première fois que je lis une romance avec deux protagonistes mariés qui ont fait, tous les deux, des erreurs et qui essaient en quelque sorte de se racheter. J’aime beaucoup le fait que les amoureux soient mariés, mais aussi plus âgés (vers la fin vingtaine). Du coup, j’ai trouvé que leur relation houleuse était plus crédible, et ça fait différent !
Parlons d’ailleurs de ces personnages aux caractères forts ! J’ai bien aimé le fait qu’il n’ait pas qu’un personnage au caractère fort, en fait… il y en a une tonne ! Donc, attendez-vous à des engueulades, à de l’action et peut-être même à un peu de sang ? (Chuuut) On retrouve également de la diversité au niveau des personnages, que ce soit au niveau de leur couleur de peau, de leur situation amoureuse… bref, je suis vraiment contente de cette diversité, sans qu’elle soit montrée, ni forcée ; tout est intégré en douceur comme si c’était normal, et ça l’est !
Vous l’aurez compris, ce genre d’œuvre, c’est un peu un pas en avant, un pas en arrière, sauf que je n’ai pas trouvé l’histoire si répétitive puisqu’il y a plusieurs retournements inattendus et que l’auteure s’assure qu’on ne s’ennuie pas. On a le droit à des discussions enflammées, des engueulades épiques, de la tentation, de la séduction et à bien d’autres choses auxquelles vous ne vous attendez pas…
Pour un premier roman, Ari Augustin frappe fort ! Elle ne se perd pas en cours de route et nous offre un roman de bonne longueur qui se dévore rapidement. Il s’agit là d’une excellente lecture pour passer le temps. La plume est fluide et les erreurs ne sont pas nombreuses ; on a là un excellent roman auto-édité. Toujours pas convaincus ? Voici 5 bonnes raisons de l’acheter !
1. L’auteure vient de Wattpad. Eh non, il n’y a pas que des chroniques et des romans clichés qui viennent de Wattpad ; il y a aussi de superbes romans comme celui-là.
2. C’est une œuvre auto-éditée. Il est temps d’encourager les romans auto-édités et de montrer qu’ils ne sont pas inférieurs aux romans édités en maison d’édition !
3. L’auteure est canadienne, donc pour moi, c’est encourager une auteure de ma région, et pour vous c’est encourager une auteure de la francophonie !
4. La couverture est superbe, ainsi que les illustrations. Vous DEVEZ avoir ce roman dans votre bibliothèque.
5. L’histoire est facile à lire, agréable, intéressante, qu’avez-vous besoin de plus ?
Bref, vous l’aurez compris, j’ai bien aimé ce premier tome. Pour moi, c’est un excellent premier roman pour l’auteure et malgré quelques fautes qui peuvent facilement être corrigées, on passe rapidement outre pour dévorer cette histoire intéressante et captivante !
Comme certains le savent, sur mon compte Wattpad, j’organise des concours avec une correction, une lecture de l’œuvre et un avis final. Aujourd’hui, je vous présente les 4 premiers grands gagnants de ce concours !
Vous pouvez m’appeler Joy, parce que c’est vraiment ce que l’écriture me fait ressentir. J’ai habité au Royaume Uni, en Suisse et en Allemagne avant de revenir en France. J’ai vingt-sept ans, presque toute mes dents et dans une autre vie, je travaille dans le marketing.
– Peux-tu présenter ton histoire gagnante ?
Le Dernier Vol des Oiseaux de Sang est le deuxième « vrai » roman que j’ai écrit dans ma vie. Il a vu le jour en 2016, alors que j’habitais à Berlin. C’est la rencontre éclair avec un sans abris dans les couloirs du métro qui m’a inspiré l’un des deux personnages principaux. Il s’agit d’un drame romantique ayant pour thème de fond les difficultés que présente la recherche du bonheur, au sein d’une société violente et matérialiste. Partant de là, j’ai articulé le scénario sur mes principaux centres d’intérêt, à savoir la psychologie, les œuvres d’art et la ville de New York et j’ai écrit le premier jet en trois mois, entre septembre et décembre 2016.
– Pourquoi t’être inscrit.e à mon concours ?
J’ai pour but de présenter cette œuvre à une maison d’édition. Lorsque j’ai vu qu’une correction était proposée dans ce concours, j’ai littéralement sauté sur l’occasion ! Toutes les corrections qui ont été effectuées sur les chapitres me sont d’une aide précieuse dans la dernière phase de correction que je suis en train de menée. Elles me permettent aussi de progresser et de débusquer moi-même certaines erreurs de ponctuation dans mes autres histoires et pour cela, je te remercie !
– Quelle a été ta réaction lorsque tu as vu mon commentaire final positif ?
J’ai été particulièrement émue, mais aussi un peu inquiète, je dois bien l’avouer. Ton commentaire est arrivé avant le dénouement final et après cela, j’ai eu un peu peur que la fin ne soit pas à la hauteur de tes espérances. Je ne voulais pas te voir passer d’un avis si bon à une déception amère ! Maintenant, d’après ce que j’ai compris, elle ne t’a pas déçue et j’en suis soulagée ! Ton avis m’a aussi permis de conforter une idée que j’avais à propos de la fluidité des premiers chapitres de mon histoire. C’est quelque chose que je retravaille activement pour cette version finale et c’est en partie grâce à toi ! Donc merci, une nouvelle fois !
– Quelle a été ta réaction lorsque j’ai annoncé, dans le live, que ton histoire faisait partie des 5 histoires gagnantes?
J’ai versé ma petite larme face à tous les compliments que tu as fais sur cette histoire. Je sais que mes textes le démontrent peu, mais je suis ultra-sensible et j’ai la larme facile ! J’étais à la fois émue, fière et heureuse de voir l’engouement que mes personnages ont su créé tout au long de cette histoire. Réussir à toucher mes lecteurs, voila la plus belle des récompenses pour moi !
Je m’appelle « thecasty » haha (mon prénom se cache dans ce pseudo farfelu ^^). J’ai dix-huit ans. Je suis en première année de fac. J’adore lire, écrire, la mode et le chocolaaaat.
– Peux-tu présenter ton histoire gagnante ?
« Mon unique remède » est une histoire qui est plutôt simple de prime abord. Elle regorge de clichés (ooops, j’adore ça), d’amour et de sujets un peu moins cool. « Mon unique remède » est avant tout l’histoire d’une jeune styliste torturée qui va retourner vers ses racines. Dans sa ville natale, tout est lié et elle y jouera en quelque sorte son destin. J’ai essayé de décrire grosso modo sans vous spoiler non plus, je ne sais pas si c’est très réussi du coup…
– Pourquoi t’être inscrit.e à mon concours ?
Je me suis inscrite à ce concours un peu sur un coup de tête. Mon histoire me plaisait bien, j’avais de bons retours sur celle-ci. Je voyais souvent les concours d’Ecrivaine13, mais je n’avais jamais osé m’inscrire, me sentant absolument pas à la hauteur face à tous ces concurrents hors pair. Et puis, une folie m’est passée. Je me suis dit que je n’avais rien à perdre. Dans tous les cas, même si je perdais, j’avais eu la chance de participer à au moins un de tes concours. Et puis, j’aurais eu l’opportunité de te faire découvrir mon univers, mais aussi de recevoir une critique de ta part. Je t’avoue que pour moi tu es un peu une icône sur Wattpad haha
– Quelle a été ta réaction lorsque tu as vu mon commentaire final positif ?
J’ai été agréablement surprise. J’ai toujours un peu de mal à me faire confiance au niveau de l’écriture. Je ne me trouve jamais assez bien et me compare beaucoup, chose à ne pas faire je sais ^^ Donc, avoir ce retour positif de ta part m’a vraiment fait chaud au cœur.
– Quelle a été ta réaction lorsque j’ai annoncé, dans le live, que ton histoire faisait partie des 5 histoires gagnantes?
Et bien, je n’ai pas regardé le live en temps réel, j’avais complètement zappé. J’ai vu que tu avais posté les résultats sur le livre donc je me suis empressée d’aller voir, même si au fond de moi je pensais ne pas voir mon histoire figurer parmi les gagnants. Et puis, je suis tombée sur la dernière partie, le gagnant numéro 5. Je n’ai même pas fait attention qu’il s’agissait de « Mon unique remède ». J’étais déjà prête à laisser un commentaire pour les gagnants. Puis, j’ai réalisé que la couverture m’était familière. Tu parles mdrrr J’ai lu, relu, rerelu pour voir si je ne rêvais pas. A cet instant, c’était la fête dans ma tête. J’en ai parlé avec ma mère et ma sœur, tellement j’étais fière. J’ai été super émue de voir mon nom s’afficher et je ne réalise toujours pas à l’heure actuelle. Je souhaite encore te remercier et aussi féliciter les gagnants mais aussi tous les participants. On est tous gagnants en fin de compte.
Bien sûr ! Je me nomme Mona, Li_mona_de sur Wattpad, je viens d’avoir dix-huit ans et je suis étudiante. Je suis une passionnée, une passionnée tout court. J’écris depuis une dizaine d’années et je suis présente sur la plateforme depuis quelques temps également. Mon premier roman édité paraîtra courant de l’année chez Homoromance éditions.
— Peux-tu présenter ton histoire gagnante ?
Il s’agit d’un roman de médiévale fantaisie. Pas de dragons et de bêtes féroces, rien qu’un monarque qui n’a jamais prétendu au trône. Un certain Lyssandre de Loajess qui n’aurait jamais dû succéder à son frère. Il est le fils dernier né du souverain et a été élevé comme le prince rêveur et idéaliste qu’il était, sans la moindre formation militaire et politique. Son frère est mort à la guerre, son père d’une maladie, et le voilà seul face à ses responsabilités. Son Royaume est épuisé par la guerre, la Cour regorge de complots et lui n’est guère plus que l’enfant égaré d’autrefois. Ce roman, qui est en fait une saga, suit son règne. Un règne qui met en lumière la perversité et l’ambition des courtisans et une romance. Une romance inattendue qui fera peut-être le bonheur de ce jeune monarque !
— Pourquoi t’être inscrite à mon concours ?
Je connais tes concours puisque j’y ai participé à plusieurs reprises. Je savais dans quoi je m’embarquais et je savais surtout que j’aurais des retours constructifs (et des corrections, elles me sont extrêmement précieuses) sur mes histoires. C’est ce que je recherche dans les concours auxquels je participe, en plus du sérieux de son organisatrice. Encore une fois, je n’ai pas été déçue !
— Quelle a été ta réaction lorsque tu as vu mon commentaire final positif ?
Dans le cas de Longue vie au roi, je ne l’ai pas vu puisque j’étais la dernière histoire lue (ou l’une des dernières). J’étais donc très stressée pendant le live et en voyant que tu t’étais arrêtée avant la fin, je suis partie du principe que tu n’avais pas accroché. Disons que ça a été une énorme surprise ! Pour Cueillir les étoiles, qui a remporté un prix spécial, j’étais agréablement surprise. Il faut dire que j’attends toujours tes avis avec impatience et un brin d’appréhension. Je crains toujours une déception et constater que deux de tes histoires avaient trouvé grâce à tes yeux a été vraiment une énorme surprise. Je t’en remercie encore du fond du cœur.
— Quelle a été ta réaction lorsque j’ai annoncé, dans le live, que ton histoire faisait partie des cinq gagnants ?
Ma réaction ? Je tremblais comme une feuille, un sourire béat (et un peu idiot) sur les lèvres. Je n’y croyais pas ! Tes compliments m’ont fait énormément plaisir et les commentaires de tous ceux qui assistaient au live également. J’étais extrêmement heureuse que tu aies autant aimé mon roman, j’espère le proposer un jour à l’édition, alors c’était tellement rassurant de t’entendre en parler de manière si élogieuse. J’ai regardé à nouveau le live ce matin pour être parfaitement certaine que je ne rêvais pas ! Mille mercis !
J’ai 21 ans et je suis étudiante en Économie-Gestion en Bretagne. J’aime écrire depuis toujours, mais ça ne fait que quelques années que je m’y suis mise sérieusement. Un peu trop émotive, je me défoule en noircissant des pages.
– Peux-tu présenter ton histoire gagnante ?
Mon histoire parle d’une jeune femme, impulsive et rêvant de liberté, qui n’a pas d’autre choix que de vivre la vie qu’on lui a tracée : devenir un jour reine. Comme tous les membres des familles royales du globe, elle est modifiée génétiquement pour cela, grâce à une force mystérieuse. De moins en moins à l’aise dans sa condition, ses rebellions la mèneront à découvrir son pays, à se lier d’amitié avec un apprenti garde, à se rapprocher de son fiancé, à s’opposer au pouvoir. Mais ça ne sera pas suffisant pour ne pas devenir un des rouages dans les plans de la grande reine, sa mère, dans l’unique but garder la couronne.
J’ai écrit cette histoire en deux ans. C’était mon premier gros projets. J’ai été lente, j’ai fait des erreurs, mais surtout, j’ai énormément appris.
– Pourquoi t’être inscrit.e à mon concours ?
Je me suis inscrite pour avoir un avis objectif sur mon histoire. La plupart de mes autres lecteurs étaient des amis et des personnes avec qui j’échangeais de avis. Il me manquait une critique objective. Bien sûr, j’espérais voir que mon histoire valait quelque chose. Le concours était loin de ceux qui notaient les histoires à hauteur de 40% sur la couverture, le titre, le résumé etc. Ce concours me donnait vraiment l’impression que je serais notée sur mon histoire et rien d’autre. De plus, entre les corrections, ton expérience et les critiques, je me devais de tenter ma chance.
– Quelle a été ta réaction lorsque tu as vu mon commentaire final positif ?
Honnêtement, j’avais un peu peur de recevoir ce commentaire. J’ai pris des tournants audacieux dans mon histoire et certains de mes lecteurs ne l’ont pas bien pris (trop violent psychologiquement à leur goût). Ton commentaire a été une délivrance pour moi, qui avait eu peur de poster les derniers chapitres. Bien sûr, j’avais eu beaucoup de commentaires positifs, mais le tien m’a enlevé un poids. J’étais vraiment heureuse de voir ton commentaire, qui soulignait des erreurs dont j’avais conscience et des points positifs qui me tenaient à cœur. J’avais peur, au vu de ton niveau de professionnalisme, que mon histoire ne soit pas assez « scolaire », alors ça a été une belle surprise.
– Quelle a été ta réaction lorsque j’ai annoncé, dans le live, que ton histoire faisait partie des 5 histoires gagnantes?
Je ne m’y attendais pas. J’espérais, bien sûr, mais je croisais les doigts pour l’un des prix spéciaux. Alors imagine ma surprise ! Ça faisait si étrange d’entendre quelqu’un dire le nom de mon histoire, comme s’il était apprécié en tant que tel. Ça me faisait bizarre d’entendre quelqu’un en parler comme si c’était « un vrai livre ». J’ai littéralement bondi de joie et j’ai crié à mon frère « J’AI GAGNÉ ! » et comme il ne savait pas de quoi je parlais, il m’a prise pour une folle.
4 histoires très bien écrites, 4 histoires que je vous conseille. Elles m’ont fait vivre des émotions fortes, m’ont fait vibrer et rêver ; il n’y a aucune raison de ne pas les découvrir !
On se retrouve très bientôt pour la deuxième partie de cet article, avec la dernière grande gagnante et les prix spéciaux !
Aujourd’hui, on parle avec Julie Thomières, l’auteure de Entre les Vagues, une romance qui sortira le 31 janvier 2020 en numérique. Avant de vous présenter ma chronique de son livre, pourquoi ne pas lui laisser la chance de se présenter ?
Peux-tu te présenter ?
Oui, bien sûr ! Je ne sais pas faire de présentation originale, alors je vais rester dans le classique : je m’appelle Julie, j’ai 19 ans. En général, on me surnomme Lili. Je suis auteure et, depuis peu, correctrice-relectrice professionnelle. J’adore manger, la gourmandise et moi, c’est une longue histoire d’amour, je crois. Je suis une acheteuse compulsive ; je précise : de livres, de peluches et de tout ce qui est en rapport à Disney.
Quelles sont tes passions ?
Je suis passionnée par beaucoup de choses, mais ce qui prime, c’est l’écriture, la lecture, la natation et le rugby. Ce sont les quatre éléments principaux de ma vie. J’ai façonné mon univers dans le monde des livres grâce à ma mère, c’est elle qui m’a donné l’amour de la lecture et, en réalité, au fil des années, lire est devenu plus qu’une passion, chaque roman est une opportunité de voyager, de quitter durant quelques pages la réalité, et écrire a immédiatement été mon refuge, un moyen de respirer, d’accéder à un semblant de liberté. C’est mon père qui m’a transmis ce besoin de nager et cette admiration pour le ballon ovale. En gros, tout est une histoire de famille. Sauf les peluches, je suis vraiment la seule fada de peluches chez moi… (oui, au stade où j’en suis, on peut compter ça comme une passion).
Avant d’écrire sur Wattpad, écrivais-tu ?
Oh oui ! Si je ne me trompe pas, je me suis inscrite sur Wattpad en 2014, mais j’écrivais déjà depuis quelques années. Je ne saurais pas dire avec exactitude le moment où j’ai commencé, mais ce qui est sûr, c’est que même avant mes 10 ans, je commençais à griffonner des mots, des phrases… Ce n’était peut-être pas fameux, mais ça avait le mérite d’exister !
Pour être honnête, je ne m’en souviens plus. Je sais juste que j’ai commencé à partager mes écrits sur Ask. J’écrivais des poèmes, des textes et je les y publiais. C’est à onze-douze ans, quand je me suis lancée à écrire des romans, que j’ai entendu parler de Wattpad ou qu’on me l’a conseillé et je me suis dit que ça pouvait être une bonne expérience. Au départ, j’étais sur la plateforme avec des amis du collège, puis j’y suis restée parce que j’ai connu un petit succès avec l’une de mes histoires, alors ça m’a encouragé à continuer l’aventure. De plus, Wattpad m’a permis de rencontrer des gens, d’échanger avec d’autres auteurs, d’autres lecteurs, et pendant une longue période, ça a été mon moment d’évasion.
Quel est ton avis global de cette plateforme d’écriture et de lecture en ligne ?
Je ne connais pas trop le Wattpad actuel puisque je n’y vais plus depuis plusieurs mois, mais d’après mes quelques années d’expérience, je peux retenir de très bonnes choses ! J’ai pu échanger avec beaucoup de monde, notamment pour quatre de mes romans, dont Entre les vagues. Au-delà de partager mes écrits et de découvrir d’autres histoires, Wattpad m’a donné l’opportunité de faire des connaissances, d’obtenir des conseils, d’apprendre des autres, de me trouver en tant qu’auteure… Je suis très heureuse de m’y être inscrite ; toutefois, je mentirais si je disais que ça me manque. Ça ne me convient plus, que ce soit en tant qu’écrivain ou que lectrice. En plus de ça, je trouve que l’insécurité face à la menace du plagiat pèse beaucoup ces derniers temps, alors je préfère m’en tenir loin, pour l’instant en tout cas, peut-être que j’y reviendrai un jour.
Lis-tu sur Wattpad ? Pourquoi ?
Non, plus maintenant. Je peine très souvent à lire autrement que sur papier, même pour des romans qui me passionnent, alors c’est compliqué sur écran. En plus, comme je ne vais plus sur Wattpad, même pour écrire, je n’y lis plus non plus.
Est-ce qu’Entre les Vagues est ton premier roman ?
Non, loin de là. Je ne tiens pas les comptes, mais il y en a eu une bonne dizaine avant lui, ceci-dit, ils ne sont pas tous terminés. Par contre, c’est bien le premier qui est édité !
Comment en as-tu eu l’idée ? Comment a commencé cette belle aventure ?
Comme j’aime à le dire lorsqu’on me pose la question, l’idée d’un roman qui évoque la natation m’est venue pour l’amour de ma passion. J’ai nagé en club de 2010 à 2015 avant d’arrêter de façon très subite et radicale, pourtant j’aimais toujours ça. Ça a été douloureux de quitter les bassins, de jeter les maillots au fond d’une boîte, de tourner le dos aux piscines, mais cette coupure m’a été essentielle pendant un moment. Quand j’ai commencé Entre les vagues, c’était dans le but de renouer avec l’eau, parce que je sentais le besoin de retrouver ce contact, mais je n’arrivais pas à y revenir physiquement, alors j’ai voulu l’écrire. Toutes les descriptions que vous pouvez y découvrir, je les vivais avec mes personnages. Je n’ai qu’à fermer les yeux et je ressens encore toutes ces sensations que me procuraient chaque mouvement, chaque respiration et chaque goutte d’eau. C’est comme ça que le tout début de l’histoire est né, parce qu’il m’était devenu presque vital de retrouver cette partie de moi que j’ai rejetée il y a quelques années déjà.
Quels messages veux-tu faire passer dans ce roman ?
Qu’il faut croire en ses rêves et se donner les moyens de les atteindre, même si un élément ou une accumulation de mauvaises choses nous fait croire que c’est impossible, nous amène à douter, ou pire, nous pousse à abandonner. Qu’il ne faut pas perdre espoir. Qu’on ne devrait pas se laisser dicter nos projets d’avenir et nos désirs par les autres, même s’il s’agit de nos proches, qu’on doit être soi-même, porter fièrement nos valeurs, même si ça doit déplaire à la majorité de notre entourage. Que l’effet de groupe peut facilement mener à tenir des propos ou avoir des actes aux conséquences désastreuses et déplorables, même quand on ne les pense ou ne les conçoit pas. Que l’isolement et la solitude ne sont pas forcément des choix et qu’ils cachent souvent des choses graves. Que les traumatismes déglinguent les gens, mais pas tous de la même façon. Que chaque parcours est unique, même s’il peut nous sembler que non. Que parfois, quand on vit une terrible épreuve, on a besoin de quelqu’un pour apercevoir la lumière au bout du tunnel. Qu’on peut demander et appeler à l’aide sans honte, parce qu’on n’a pas à être seul, même quand tout se passe bien.
Pourquoi voulais-tu éditer ce roman ?
Pour tout avouer, j’ai envoyé mon manuscrit sur un coup de tête. Quand j’ai vu les résultats du concours Stars Contest 2019 sur Wattpad, qu’Entre les vagues est arrivé 1er dans la catégorie romance et a été élu coup de cœur du jury, je me suis dit que je pouvais aller plus loin avec Lison et Tristan, que cette histoire méritait peut-être de poursuivre l’aventure en dehors de la plateforme et qu’il fallait que je lui donne sa chance.
Comment as-tu réagi lorsque tu as su que ton roman allait être édité ?
Je me souviendrai toujours du moment où j’ai reçu le tout premier mail de Violaine. Pour la petite histoire, j’étais partie marcher avec ma mère, elle voulait me faire découvrir un champ de marguerites qu’elle avait trouvé en haut d’une colline et c’est en arrivant à cet endroit que j’ai sorti mon portable. À la base, je voulais juste prendre ma maman en photo, parce qu’elle était comme une enfant au milieu des fleurs, et j’ai vu la notification du mail. Je crois que c’était vraiment comme dans un film. En le lisant, je n’entendais plus rien autour de moi. J’ai eu du mal à comprendre que c’était réel. Je crois que la première chose que j’ai dit c’est : « Maman, j’arrive plus à respirer… », j’ai vu flou. J’ai dû rafraîchir ma boîte mail au moins une dizaine de fois avant de me mettre à danser dans le champ et de prendre ma mère dans mes bras. Il m’a quand même fallu un sacré long moment avant de le réaliser. Une part de moi était convaincue que ce n’était qu’une blague et que j’allais finir par redescendre de mon nuage…
Outre le spin-off, as-tu d’autres projets de roman concrets ?
Oh que oui ! Plusieurs, dont certains qui étaient aussi postés sur Wattpad. J’ai une collection de romances psychologiques sur laquelle je projette de me pencher bientôt, elle comporte six tomes ; six couples et six histoires. Une duologie qui est en cours de réécriture ainsi que d’autres projets que je mène dans l’ombre et auxquels je prévois de me consacrer après le reste.
Et un dernier mot pour les écrivains qui rêvent d’être édités un jour ?
Accrochez-vous à votre rêve. Ne perdez pas espoir, continuez d’écrire, de croire en vos personnages, votre ou vos histoires, votre voix, vos mots, vos messages. Peu importe le temps que ça prend, ne lâchez rien et préservez ce désir, cette ambition. N’hésitez pas à demander de l’aide surtout, à vos proches, à des inconnus, à d’autres auteurs, à des lecteurs, échangez, communiquez, partagez, observez, vous parviendrez à votre but. Et n’oubliez pas : si vous recevez un ou plusieurs retours négatifs, ne soyez pas défaitistes, persévérez. Un non ne résume pas votre talent.
Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler de mes coups de cœur sur Wattpad.
Plusieurs personnes ont une mauvaise impression de cette plateforme d’écriture parce qu’elle met en avant des histoires bourrées d’erreurs, sexistes, homophobes, pédophiles, misogynes et j’en passe. Les perles littéraires peuvent être dures à trouver. C’est pourquoi je vous propose aujourd’hui mes coups de cœur (une partie !) en espérant que vous y trouverez votre bonheur. Si vous appréciez l’article, il y a aura peut-être une deuxième partie.
Résumé : Atona Fox aime attirer l’attention, faire chier son monde et faire des blagues salaces. Elle n’a pas un passé facile, mais elle a appris à faire avec et c’est grâce à cela qu’elle s’est forgé son caractère. Atona pense que rien ne pourra plus jamais l’anéantir. Jusqu’à ce jour maudit qui lui prouvera tout le contraire. Quelqu’un en a après elle ; un tueur en série. Mais pourquoi Atona précisément ? Et pour quelle raison ? Pire, est-il possible qu’Atona connaisse cette personne ? Elle ne le sait pas, mais c’est bel et bien le cas. Qui est-ce ?
Mon avis : Un thriller haletant, mélangé avec de l’humour, des personnages attachants et des rebondissements inattendus. Saurez-vous découvrir l’identité de ce fameux tueur en série ? Entre chapitres dans la tête du tueur, chapitres légers, relations amicales et amoureuses, découvrez un roman qui vous tiendra en haleine jusqu’à la dernière page.
Résumé : Et vous, échangeriez-vous votre vie contre celle de votre meilleure amie ? Elena et Juliette sont inséparables depuis l’enfance, cependant, leurs chemins sont sur le point de prendre des directions bien différentes. Tandis que les parents d’Elena souhaitent l’envoyer dans une luxueuse pension suisse, Juliette se voit forcée de retourner vivre avec son père qu’elle n’a plus vu depuis six ans ; des perspectives loin de les réjouir. Du haut de leurs dix-sept ans, les deux filles décident alors de profiter de leur vague ressemblance physique et d’échanger d’identité pour échapper à leur avenir respectif. Une année scolaire dans la peau de l’autre, pas plus, personne n’en saura jamais rien. Personne, vraiment ? Comment vivre avec un mensonge aussi énorme sur les épaules ?
Mon avis : Un roman pour ados qui nous touche droit au cœur. On s’attache rapidement aux personnages ; on rit, on pleure, on hurle de joie avec eux. De plus, l’auteure sait nous surprendre par des rebondissements inattendus et de beaux messages de vie. C’est un incontournable de Wattpad !
Résumé : Ces dernières semaines, tout va de travers pour Ella Haver. Son rêve le plus cher sombre dans le néant et son petit copain, trop parfait pour être réel, la jette comme une ordure. Par-dessus le marché, son stage s’annonce catastrophique ; si elle ne déniche pas rapidement une perle rare, elle peut dire adieu à un poste au sein de sa maison d’édition favorite. Alors qu’elle rejoint sa bande au pub irlandais du coin, un étrange garçon croise sa route. Regard de braise, cheveux sombres, tatouage identique au sien… L’homme idéal, loin du type arrogant qui lui a brisé le cœur. C’est décidé. Elle compte bien tout oublier l’espace d’une nuit. Dans les bras d’un autre, quoi de plus facile ? Cependant, rien ne se passe comme prévu ; sa tentative pour l’accoster dérape et, bientôt, le bel inconnu s’enfuit en lui hurlant de ne plus jamais le toucher. Un véritable fiasco. Pourtant, le destin n’a pas dit son dernier mot. Ella ne le sait pas encore, mais ce garçon représente bien plus qu’une chance de passer une nuit loin de ses démons. Il sera sa perle rare ; elle deviendra sa bouée de sauvetage.
Mon avis : L’auteure a déjà publié une duologie aux éditions Butterfly et nous propose aujourd’hui un roman magnifique. C’est un roman en un seul tome qui traite de sujets difficiles, du monde de l’édition, de certains traumatismes et de comment les surmonter. Un magnifique roman qui se dévore !
Résumé : Alice est une sorte de punk désabusée par une vie qu’elle ne veut pas vivre et qui rêve d’être ingénieur lumière. Dans une époque où la jeunesse est bridée par la société, elle peine à faire entendre sa voix. Lassée de ce monde, elle fuit en Provence où des rencontres hautes en couleur et des opportunités l’attendent. En parallèle, Gabriel, ou Gaby pour les intimes, vedette à succès de la chanson française, est atteint de la « maladie de la tristesse ». Affrontant ses démons qui émanent chaque soir sur scène de son emblématique guitare bleue, il lutte contre lui-même et ce monde du show-business par lequel il est complètement dépassé. L’une veut atteindre la lumière, au risque de se brûler les ailes. L’autre se complaît dans l’ombre, depuis trop longtemps installée dans son âme. Ensemble, dans une ambiance seventies entre clarté et obscurité, au rythme des trajets en car entre les villes étapes d’une tournée nationale, ils vont tenter d’accéder à la lumière. Cette lumière, c’est celle des projecteurs, de la célébrité, mais aussi celle que l’on a en nous, flamme rageuse ou étincelle timide, dangereuse ou salvatrice.
Mon avis : Antiigone est une auteure auto-éditée et un prochain roman sortira en maison d’édition. Alors, vous ne pouvez certainement pas vous tromper sur The Danger of Lights, qui est un véritable chef-d’oeuvre. L’auteure traite de sujets importants ; jeunesse, idolâtrie, drogues, addictions, popularité, désir de liberté, célébrité, rage, mal de vivre… et ce, avec brio. C’est une œuvre qu’on adore et qu’on dévore.
Résumé : An 1310, royaume de Rubisie. Soutenu par la puissante famille Carmidor, Rehard Virdemis renverse le souverain et s’empare de la couronne. Seule la princesse Dista Arvagna survit au massacre. Tandis que le patriarche de la maison Carmidor devient le bras droit de Rehard, sa fille Giorda use de ses charmes pour s’attirer les faveurs royales. Mais l’influence grandissante de ces insulaires ambitieux attise la méfiance de la Cour, et tout particulièrement celle du chancelier, le dangereux Visars Virdemis. Et alors que des tensions éclatent entre les Carmidor et les Virdemis, Dista Arvagna jure de venger son clan et de reconquérir son trône. Dût-elle pour cela faire alliance avec une obscure confrérie, qui proclame que le dieu des océans s’apprête à engloutir les terres émergées. Mais les Carmidor le savent : les vagues les plus dévastatrices ne seront pas faites d’écume et de sel. Elles seront de terreur et de sang.
Mon avis : Vous avez adoré Game of Thones ? Vous allez adorer Les Carmidor ! De la fantasy pure, des complots, des personnages intéressants, des retournements inattendus, des secrets cachés depuis longtemps, de magnifiques descriptions et une auteure sadique… ce roman contient tout ce qu’il faut pour être une excellent roman. À consommer sans modération !
Vous avez aimé l’article ? N’hésitez pas à liker et à laisser un commentaire pour que je fasse une partie 2 !
Résumé : Ah la la… Vous la connaissez tous cette sortie scolaire, hein ?
Cette journée ennuyante au musée, ce petit questionnaire à remplir, ces visites guidées inintéressantes, ces remarques persistantes du prof pour cesser de bavarder, pour ranger son portable…
Évidemment, c’est tout de suite bien plus excitant quand un petit groupe de douze élèves et deux adultes se retrouvent coincés la nuit, avec le corps sans vie d’un de leurs camarades et des petits mots du meurtrier leur indiquant qu’il est parmi eux, et qu’ils ont la nuit pour le démasquer sans quoi ils mourront les uns après les autres.
Ils se connaissent, cela fait au moins un an qu’ils se fréquentent, un an qu’ils s’apprécient ou se détestent, et maintenant ils doivent choisir avec attention à qui faire confiance ou non.
Parmi eux se trouve le meurtrier, mais qui est-ce ? La personne qu’ils auraient envie de voir avec du sang sur les mains, c’est peut-être leur ami de toujours, l’amour de leur vie, leur professeur adoré… ?
Comment trouver les bons indices, enfermés la nuit parmi des sculptures qui semblent toutes les jauger du regard, témoins immobiles et muets de ce qu’il s’est produit quelques heures plus tôt ? Et surtout comment savoir les comprendre ?
Comment savoir avec qui s’allier ? À qui faire confiance ? Où chercher ? Tout cela sans paraître trop dangereux aux yeux du véritable meurtrier, qui choisit sans doute ses cibles avec soin…
– Pouvez-vous nous présenter votre histoire ?
L’Art de Tuer, c’est l’histoire de quatorze lycéens et de deux professeurs enfermés la nuit dans un musée avec le cadavre d’un élève de la classe. Incapables d’atteindre les secours, ils trouvent des messages d’un certain M qui prétend être le meurtrier et faire partie de leur groupe. Les protagonistes ont jusqu’au petit matin pour découvrir son identité et gagner son jeu, car l’un d’eux sera tué à chaque heure passée…
Pour ce qui est des coulisses de l’écriture, cette histoire résulte d’une collaboration, puisque que ce soit pour la recherche d’idées ou la mise en forme, tout est fait en commun. L’un des objectifs du livre est de faire participer le lecteur, dans le sens où des indices sont distillés petit à petit et qu’il est possible d’essayer de deviner l’identité du maître du jeu indépendamment de l’enquête menée par les protagonistes. Chaque chapitre se déroule d’ailleurs du point de vue d’un personnage différent, ce qui permet de connaître l’avis de chacun, y compris celui de M lui-même, et de découvrir au fur et à mesure les petits secrets des uns et des autres.
– Pensiez-vous gagner ? Pourquoi ?
À vrai dire, pas du tout ! Nous n’avons inscrit cette histoire à aucun autre concours, tout simplement parce que nous sommes toutes les deux malheureusement très occupées cette année, et que nous ne pouvons par conséquent pas nous impliquer beaucoup dans l’écriture. La raison pour laquelle nous avons décidé malgré tout de participer à l’aventure réside uniquement dans les corrections précises et les commentaires très complets qui étaient proposées. D’autant que nous ne pensions pas vraiment avoir de chances, car nous ne savions pas si ce genre d’histoire était apprécié par Ecrivaine13.
Nous avons prévu une réécriture complète dès que la fin aura été écrite, et pour que le deuxième jet soit le plus perfectionné possible, nous avons décidé de participer à des concours à ce moment, afin de savoir ce qu’il y a à améliorer. Pour l’instant, nous voulions juste voir si le début de l’histoire était intéressant, et nous avons été très agréablement surprises de constater que ce premier jet était capable de plaire, et même de gagner ! Merci encore pour tous les encouragements et les compliments, ça nous a vraiment remotivées pour la suite !
– Avez-vous comme projet d’auto-éditer ou d’éditer cette histoire ? Pourquoi ?
Ce n’était pas vraiment le cas à l’origine, puisque nous avons commencé à écrire l’Art de Tuer pour qu’une amie puisse enquêter, et cette histoire n’avait donc aucune prétention. L’écriture à deux peut également sembler un peu difficile au début pour des personnes qui avaient l’habitude de toujours travailler seules, mais nous nous sommes prises peu à peu au jeu. C’est une incroyable expérience, et nous avons découvert que nos styles d’écriture autant que nos idées fonctionnaient très bien ensemble.
À présent, nous commençons effectivement à songer à l’édition, mais ce sont des étapes longues et compliquées que nous ne sommes pas prêtes à affronter pour le moment, surtout par manque de temps du fait de nos études respectives. L’Art de Tuer nous tient cependant tellement à cœur que nous sommes tentées de voir jusqu’où il serait possible de la mener. Participer à l’aventure de l’édition à deux serait vraiment un rêve et un accomplissement ! Dans tous les cas, nous allons attendre de faire mûrir et d’améliorer au maximum l’histoire avant d’entamer une quelconque démarche.
Mentions spéciales
Faisons place aux mentions spéciales du concours. Il n’y avait aucune limite de gagnants par catégorie. Mon but était tout simplement de nommer les histoires qui m’ont marquée, en toute honnêteté. Je vous invite à aller jeter un coup d’œil, ces histoires le méritent !
Ces romans à la plume magnifiques
Ces histoires m’ont charmée par leur plume poétique et par la beauté de leurs phrases. Cette poésie n’a pas du tout alourdi leurs textes, au contraire ; leurs histoires n’en étaient que meilleures !
Il y a des romans qui n’ont que quelques chapitres de publiés et, pourtant, on tombe sous le charme. Ce n’est pas toujours parfait, mais le début nous accroche et promet une suite fantastique.
Vous aussi, vous désirez une correction, une lecture intégrale de votre histoire et des commentaires ? La troisième édition du concours est ici ! Je vous attends !
Noel arrive à grands pas et me voici en vacances. Je vous promets plein de belles chroniques et partages de lecture !
Mais en attendant, nous allons parler aujourd’hui du concours organisé sur mon Wattpad (clique ici !). J’ai fait une fiche pour une centaine d’histoires, puis j’ai lu et corrigé au complet près de 60 histoires. Une très belle expérience ; j’ai découvert de petites perles qui méritent d’être éditées.
Aujourd’hui, je vous présente les 4 premiers gagnants de cette deuxième édition et la deuxième partie (bientôt publiée) vous présentera le dernier gagnant en plus des mentions spéciales du concours.
Résumé :Alice est une sorte de punk désabusée par une vie qu’elle ne veut pas vivre et qui rêve d’être ingénieur lumière. Dans une époque où la jeunesse est bridée par la société, elle peine à faire entendre sa voix. Lassée de ce monde, elle fuit en Provence où des rencontres hautes en couleur et des opportunités l’attendent.
En parallèle, Gabriel, ou Gaby pour les intimes, vedette à succès de la chanson française, est atteint de la « maladie de la tristesse ». Affrontant ses démons qui émanent chaque soir sur scène de son emblématique guitare bleue, il lutte contre lui-même et ce monde du show-business par lequel il est complètement dépassé.
L’une veut atteindre la lumière, au risque de se brûler les ailes. L’autre se complaît dans l’ombre, depuis trop longtemps installée dans son âme.
Ensemble, dans une ambiance seventies entre clarté et obscurité, au rythme des trajets en car entre les villes étapes d’une tournée nationale, ils vont tenter d’accéder à la lumière. Cette lumière, c’est celle des projecteurs, de la célébrité, mais aussi celle que l’on a en nous, flamme rageuse ou étincelle timide, dangereuse ou salvatrice.
– Peux-tu nous présenter ton histoire ?
« The Danger of Lights » se passe en France, en 1979. On y croise Alice, une jeune punk désabusée par la vie et qui rêve de devenir ingénieure lumière dans une salle de spectacle. Sauf que ses désirs d’avenir n’ont pas leur place dans la société dans laquelle elle vit. Un soir, alors qu’elle perd tout espoir de pouvoir vivre ses rêves, elle rencontre Gabriel Henley, un mystérieux chanteur. Lui aussi est brisé, a perdu le sens de la musique qu’il faisait et ne croit plus en ses rêves. L’un est la lumière, l’autre les ténèbres. Ensemble, ils vont essayer de retrouver cette étincelle de vie qui s’est éteinte en eux, à leurs risques et périls.
– Pensais-tu gagner ? Pourquoi ?
Honnêtement ? Pas du tout. « The Danger of Lights » est une histoire un peu laissée à l’abandon, au profit de mes deux autres projets auto-édités. Ainsi, il restait plein de fautes avant qu’Ecrivaine13 les corrige. Cette histoire est encore à retravailler. Je ne m’attendais pas à ce que ce premier jet plaise autant.
– As-tu comme projet d’auto-éditer ou d’éditer cette histoire ? Pourquoi ?
Oui, comme pour tous mes autres projets. Sauf qu’il reste du travail à faire sur « The Danger of Lights ». Sa relecture intégrale est prévue pour mars 2020, donc pourquoi ne pas l’auto-éditer après si je suis satisfaite du résultat ? Pour l’instant, je privilégie mes deux autres romans, « Les Vents de l’Existence » et « Inoubliable Symphonie » dont je dois assurer la promotion.
Résumé :An 1310, royaume de Rubisie. Soutenu par la puissante famille Carmidor, Rehard Virdemis renverse le souverain et s’empare de la couronne. Seule la princesse Dista Arvagna survit au massacre.
Tandis que le patriarche de la maison Carmidor devient le bras droit de Rehard, sa fille Giorda use de ses charmes pour s’attirer les faveurs royales. Mais l’influence grandissante de ces insulaires ambitieux attise la méfiance de la Cour, et tout particulièrement celle du chancelier, le dangereux Visars Virdemis.
Et alors que des tensions éclatent entre les Carmidor et les Virdemis, Dista Arvagna jure de venger son clan et de reconquérir son trône. Dût-elle pour cela faire alliance avec une obscure confrérie, qui proclame que le dieu des océans s’apprête à engloutir les terres émergées.
Mais les Carmidor le savent : les vagues les plus dévastatrices ne seront pas faites d’écume et de sel.
Elles seront de terreur et de sang.
– Peux-tu nous présenter ton histoire ?
Les Carmidor est une… trilogie ? Quadrilogie ? « Quelque chose-logie » fantasy de mœurs, médiévale, politique, historique, et ça se passe dans un monde totalement inventé, les terres émergées. À ce stade, à moins d’être un fervent lecteur de fantasy, vous n’avez pas compris de quoi je parle. On peut résumer le genre de cette histoire par le sigle des 3M (ne cherchez pas, ça n’existe pas ailleurs, et pour cause) :
1. M comme Magie, parce qu’il n’y en a pas une seule trace chez moi (ça commence bien). J’écris de la fantasy, certes, mais fantasy n’implique pas forcément magie/pouvoirs/prophétie/dragons, et j’ai pris le parti d’écrire un roman qui n’en contiendrait absolument pas. Objectif : me concentrer sur des aspects très humains, très réalistes, et faire de cette histoire quelque chose de crédible historiquement. Même si elle se déroule dans un monde inventé de toutes pièces (bien que très inspiré de la fin du Moyen-Âge occidental et oriental).
2. M comme Manigances et Machinations : puisqu’on ne parle pas de magie, toute l’intrigue est centrée sur les complots, les trahisons et les guerres de pouvoir (et guerres tout court) entre familles rivales. Chez moi, chacun a ses (bonnes et mauvaises) raisons de lutter pour le pouvoir, qu’il s’agisse d’ambition, de self-protection ou de vengeance. Alors là dit comme ça, ça donne pas très envie, mais le pari, c’est de rendre ça passionnant même pour des lecteurs qui n’aiment pas la politique. Promis, je ne sais pas si j’y parviens à tous les coups (probablement pas d’ailleurs), mais c’est la promesse que je vous fais (votez pour moi).
3. M comme Merdasse (vous ai-je déjà dit que j’aime l’élégance ?), parce que Les Carmidor est un beau nœud de saletés et de crasses en tout genre. Si vous connaissez vaguement une série qui s’intitule Game of Thrones (vous en avez peut-être entendu parler, c’pas très connu…), vous voyez de quoi je parle. Chez moi, le sadisme est une religion (d’ailleurs, la religion y est sadique, quel heureux hasard !) : l’ambiance même fait que les personnages ne s’en sortent pas toujours. À vous de choisir votre camp (ne comptez pas sur moi pour désigner les héros de l’histoire, c’est vous qui prendrez ce risque), et à vous de croiser les doigts pour ne pas vous tromper.
– Pensais-tu gagner ? Pourquoi ?
AB-SO-LU-MENT PAS et pas par fausse modestie, juré ! Je participe assez souvent à des concours avec cette histoire, et j’ai toujours mon petit pronostic sur mes chances d’aller jusqu’à la finale. Et pour ce concours-là, j’estimais mes chances à… presque zéro.
Il y avait 2 raisons à cela : tout d’abord, en voyant le nombre de participants VS le nombre de jurés (une seule !) et l’activité de la jurée en question (qui est très active sur un tas de projets, des histoires, son blog, etc), j’en suis venue à la conclusion qu’elle n’aurait jamais le temps de vraiment lire chaque histoire. Et sans parler de tout lire : même lire les 5 premiers segments, ça prend du temps. En lire une centaine dans le cadre d’un concours, ça se solde bien souvent par une lecture en diagonale (ne nous mentons pas, on sait très bien comment ça se passe dans 95% des cas). Or, si Les Carmidor passe généralement l’étape « première impression » grâce à la forme du texte (fautes, tournures, etc), ça pêche par la suite parce que cette histoire est très ingrate : si on la lit en diagonale, on se prend un mauvais revers dans le nez.
Aborder de la fantasy de mœurs avec le niveau de concentration de mon chat quand il se réveille, c’est l’assurance de trouver le début du roman long et complexe (et pour cause, c’est une catégorie de récit qui est assez lourd et lent au démarrage). Clairement, c’est pas le genre qui se lit bien sur une plage en étant interrompu toutes les 2 minutes par Mémé qui veut qu’on lui passe de la crème.
Déjà, ça partait mal. Mais en plus de cela, une deuxième chose me titillait : pour une raison qui m’échappe, je sentais que ce n’était pas le genre « de confort » d’Ecrivaine13 (les préjugés ont la vie dure). Je la voyais plutôt lectrice de romans réalistes, de polars, de romances, un brin de fantastique, mais pas vraiment de fantasy médiévale bien lourdingue qui a une si mauvaise image.
J’ai donc été très surprise (pour rester polie) de la voir dévorer le tome 1 si vite, commentaires à l’appui. J’en suis arrivée à deux conclusions. La première, c’est que Les Carmidor, ça peut plaire même à des lecteurs qui sont rebutés par tout ce qui se passe avant la Première Guerre Mondiale. La deuxième, c’est qu’Ecrivaine13 est une alien venue dévorer nos cerveaux. Je ne vois pas d’autre explication.
– As-tu comme projet d’auto-éditer ou d’éditer cette histoire ? Pourquoi ?
Ouiiiiiii, parce que j’aimerais beaucoup amener cette histoire à cette « ultime » étape dans le partage aux lecteurs. L’édition ou l’auto-édition, ça reste la consécration pour un roman, et j’aimerais tenter le coup. Plus précisément, l’édition : l’auto-édition, je trouve ça génial et je pense que j’y passerai un jour parce que c’est une formule qui, certes, demande énormément de travail, mais qui représente à mes yeux la voie royale pour un auteur confirmé.
Confirmé, donc. Pour Les Carmidor, je ne pense pas essayer l’auto-édition parce que je manque cruellement de connaissances sur ce milieu. Il y a beaucoup de compétences et d’expérience à avoir pour réussir une auto-édition, et je ne les ai pas encore puisque je n’ai jamais rien publié. À ce stade, je me sens pas encore prête à relever un tel défi, sans compter que ça demande un travail monstre auquel je crains de ne pas avoir assez de temps à consacrer.
En revanche, l’édition me fait les yeux doux depuis un certain temps et je crois que ce serait la solution idéale pour Les Carmidor (si tant est qu’un éditeur y voit un potentiel !). D’ailleurs, cette question est l’occasion pour moi de révéler un petit secret : j’ai soumis le tome 1 à une maison d’édition il y a 2 semaines ! Je me suis lancée sur les conseils d’un lecteur qui y est lui-même édité, parce que c’était le moment idéal et que cette ME-là me fait un peu rêver, je dois bien l’avouer. Et ça ne donnera probablement rien, et cette démarche demeurera la seule en ce sens, je pense, tant que je n’aurai pas terminé tous les tomes de Les Carmidor, mais c’est l’info du moment me concernant.
Je croise les doigts en essayant de ne pas trop y penser/pas trop y croire/pas trop y attacher d’importance. En attendant, le tome 1 est disponible en entier sur Wattpad, et le tome 2 devrait paraître à son tour début 2020 !
Résumé : Quand il apprend avoir obtenu le bac avec mention, Léonard est fou de joie. Il peut enfin réaliser son rêve : partir un mois à Londres dans une famille d’accueil. C’est ce que lui avaient promis ses parents.
Parler anglais, c’est sa motivation.
Devenir traducteur de romans, c’est son espoir de toujours.
En arrivant à Londres, le rêve commence, et rien ne pourra le briser. A une exception près : Andrew, le fils aîné de la famille d’accueil qui ne semble pas laisser Léonard indifférent.
– Peux-tu nous présenter ton histoire ?
Je vous plonge dans l’aventure du tout juste bachelier Léonard Salois, qui n’a qu’un espoir : devenir traducteur littéraire. Son goût pour la langue de Shakespeare est affirmé depuis toujours, il est véritablement bilingue ! Pour le récompenser de sa mention obtenue au baccalauréat littéraire, sa famille lui offre un voyage à Londres d’un mois dans une famille d’accueil ; Léonard savait avant même de partir qu’il ne l’oublierait jamais, mais la rencontre avec le fils aîné de la famille londonienne, Andrew, confirme tout. Une chose est sûre : Léonard est sous son charme, et ça risque bien de bouleverser ses plans !
– Pensais-tu gagner ? Pourquoi ?
Honnêtement ? Non, pas en m’inscrivant. Puis je me suis posé quelques questions lorsque j’ai commencé à recevoir les commentaires d’ Ecrivaine13 qui semblait accro à l’histoire !
– As-tu comme projet d’être auto-éditée ou éditée ? Pourquoi ?
Oui ! J’aimerais tenter l’édition traditionnelle 🙂 pour l’expérience et la fierté de tenir son travail entre ses mains. Si personne ne veut de moi, je me pencherai sur l’auto édition.
Résumé :Hyuna n’a que douze ans lorsqu’elle est témoin de l’assassinat de sa mère par un parrain du crime organisé. Devenue un témoin gênant, elle n’a d’autre choix que d’accepter de servir à vie le gang rival du tueur : le Pian Kkoch, seule organisation capable de la protéger.
Des années plus tard, elle appartient toujours à ce gang, l’un des plus violents de la ville de Nasukju, en Corée du Sud. Elle ne survit qu’à grand renfort de cocaïne et parce qu’elle n’a pas abandonnée l’idée de venger la mort de sa mère.
C’est au court d’un règlement de compte, dans un bordel sordide, qu’elle rencontre un adolescent aux traits angéliques et aux yeux vides. Le garçon, surnommé Jayu, possède un passé aussi cruel que le sien. Le sachant condamné si elle ne fait rien pour lui, elle fait le choix de lui tendre la main et de déserter.
De salon de tatouage en casino, en passant par des hôtels de passe, les deux jeunes vont chercher leur place dans la ville décadente de Nasukju. A présent liés l’un à l’autre, par des sentiments de plus en plus ambigus, ils vont devoir échapper à de dangereux criminels, tout en convoitant une vengeance nécessaire.
– Peux-tu nous présenter ton histoire ?
Bonjour à tous. Mon histoire met en scène Hyuna une femme de vingt-trois ans qui a été forcée d’intégrer un gang très jeune pour échapper à l’homme qui a tué sa mère. L’élément perturbateur prend la forme d’un adolescent prostitué que l’héroïne rencontre dans une maison des plaisirs glauque. Sur un coup de tête, elle choisit de fuir avec lui, afin de lui sauver la vie, de quitter un monde qu’elle ne supporte plus et de pouvoir enfin s’offrir la vengeance qu’elle recherche.
L’histoire prend place à Nasukju, une ville fictive de la Corée du Sud. Contrairement au reste du pays qui a une criminalité basse, Nasukju a de sérieux problèmes de ce côté-là. C’est une cité violente et décadente. Mon histoire se rangerait dans le rayon des livres d’action, il y a beaucoup de danger, de suspense et de violence, mais elle laisse une part importante au développement psychologique des personnages, leur quête d’émancipation, d’amour et de liberté.
Enfin, l’histoire permet d’aborder des sujets comme la prostitution, les abus sexuels en général, la Corée du Sud d’aujourd’hui et la masculinité/féminité.
– Pensais-tu gagner ? Pourquoi ?
Bonne question. Chaque fois que je m’inscris dans un concours, je le fais parce que je pense avoir mes chances. Sincèrement, je crois avoir un bon niveau d’écriture maintenant, j’ai beaucoup progressé et trop travaillé sur cette histoire pour qu’elle ne mérite pas de recevoir des prix. Donc je pensais que je méritais.
Mais même si je pensais mériter de gagner, je ne pensais pas forcément y arriver. En fait, tout le monde ne peut pas aimer mon histoire. J’ai trente ans et j’écris le livre que j’aimerais lire maintenant, en tant qu’adulte. Les jeunes lecteurs qui sont nombreux sur Wattpad trouvent parfois que le récit traine un peu, que le style est compliqué et que les chapitres sont trop longs. Les passages de violences crues peuvent aussi être un frein.
– As-tu comme projet d’auto-éditer ou d’éditer cette histoire ? Pourquoi ?
Je n’auto-éditerais pas. Sans l’appui d’une maison d’édition, je ne peux actuellement pas vendre. Soyons honnête, j’ai si peu de visibilité que même gratuitement je ne parviens pas à trouver des lecteurs. J’ai auto-édité l’un de mes précédents livres, je pensais que des lecteurs et lectrices pourraient être intéressés, mais en fait, je n’ai vendu que trois livres. Mon roman est resté totalement invisible et pourtant j’ai fait de la promotion (distribution de 500 prospectus dans des événements directement en lien avec le sujet du livre). Donc, je ne recommencerais pas, sauf si, dans quelques années, je venais à gagner en notoriété.
Pour l’édition, je ne désespère pas. Je pense envoyer « Les gangsters ne grandissent jamais » à des maisons d’éditions qui publient des premiers auteurs, ou des romans noirs, ou des romans à suspense. J’ai déjà une belle liste à tenter. Mais j’attends tout d’abord de relire et corriger entièrement mon histoire une dernière fois. Pour l’instant, j’ai besoin de prendre du recul afin de repérer les fautes et incohérences qui s’y trouvent encore. Et si ce n’est pas avec ce livre, ce sera avec un autre, car j’ai beaucoup d’idées et de projets en tête.
Vous désirez participer à la troisième édition du concours ? C’est ici !