Chronique : American Witches

Hello ! On se retrouve pour mon deuxième service presse en collaboration avec Fyctia. Merci à eux pour leur confiance et l’envoi de cette petite perle. L’histoire provenant de Fyctia me tentait énormément, alors je l’ai commencée et n’ai pas été déçue !

Titre : American Witches

Auteure : Katia Campagne

Genre : Thriller/mystère

Maison d’édition : Hugo suspense

Nombre de pages : 400

Résumé :

LES MYTHES ONT TOUJOURS UN FOND DE VÉRITÉ.

Le corps d’une femme rousse est retrouvé sur un chemin de randonnée, à quelques kilomètres d’une bourgade américaine isolée. Démembrée, un parchemin enfoncé dans la gorge, la victime semble avoir fait l’objet d’une cérémonie macabre. Mise en scène ou rituel consacré ? La question se pose au coeur de Hinsdale, qui garde encore les traces des anciennes chasses aux sorcières.
Chargé de l’enquête, Karl Rosenberg sait qu’il n’y coupera pas : pour sa dernière enquête, il va devoir affronter des légendes qu’il aurait préféré ne pas réveiller, et l’aide de son remplaçant ne sera pas de trop pour démêler les croyances de la réalité. Car dans cette petite ville où tout se sait mais où personne ne parle, les mythes ont toujours un fond de vérité. Pour son premier livre en librairie, Katia Campagne lie habilement passé et présent et interroge la nature de la sorcière actuelle : femme indépendante, femme de pouvoir ou femme violente, autant d’aspects qui ont suscité la peur et la stigmatisation, et qui prennent aujourd’hui un nouveau sens.

Mon avis

American Witches est un roman qui se lit très vite ; il se dévore. J’ai été surprise en apprenant qu’il faisait 400 pages, j’ai eu l’impression qu’il était beaucoup plus court puisqu’il se lit rapidement. La plume de l’auteure est fluide et nous amène dans son monde.

Le roman débute sur une scène de crime qui porte à confusion. Est-ce une sorcière qui a commis l’irréparable ou est-ce une mise en scène pour accuser les sorcières, ce groupe de femmes militantes se cachant sous la métaphore de sorcières ? Le doute plane jusqu’à la toute, toute fin du roman, et même à ce moment-là, on doute toujours. L’auteure nous tient en haleine du début à la fin du roman.

On traite de féminisme – extrémiste ou pas -, de réseaux sociaux, de changements de vie, d’amitiés toxiques et de secrets révélés au grand jour. On ne s’ennuie pas à un seul moment, les retournements de situation sont imprévisibles et on dévore la lecture. Il y a un peu d’action, beaucoup de suspense et des secrets. Vraiment, j’ai beaucoup aimé ce thriller.

Il est toujours difficile de bien parler d’un thriller sans spoiler, mais je vous conseille absolument cette nouvelle parution de Hugo Suspense. La plume est superbe, les descriptions sont belles, les relations entre les différents personnages sont travaillées et l’histoire nous captive. Je vous le recommande !

Chronique : Plus jamais

J’ai découvert Coleen Hoover avec la série Hopeless il y a quelques années et j’avais bien aimé. Alors, je me suis laisser tentée par un autre roman de cette auteure. Je n’ai pas lu les deux dernières lignes du résumé avant de commencer ma lecture et je n’avais donc pas compris qu’il s’agissait d’une romance avec un fond de violence conjuguale.

Titre : Plus jamais

Auteure : Colleen Hoover

Genre : Romance dramatique

Maison d’édition : Hugo Romance

Résumé :

Ce sont ceux que nous aimons qui peuvent nous faire le plus de mal.

Lily Blossom Bloom n’a pas eu une enfance très facile, entre un père violent et une mère qu’elle trouve soumise, mais elle a su s’en sortir dans la vie et est à l’aube de réaliser le rêve de sa vie : ouvrir, à Boston, une boutique de fleurs. Elle vient de rencontrer un neuro-chirurgien, Lyle, charmant, ambitieux, visiblement aussi attiré par elle qu’elle l’est par lui. Le chemin de Lily semble tout tracé. Elle hésite pourtant encore un peu : il n’est pas facile pour elle de se lancer dans une histoire sentimentale, avec des parents comme les siens et Atlas, ce jeune homme qu’elle avait rencontré adolescente, lui a laissé des souvenirs à la fois merveilleux et douloureux. Est-ce que le chemin de Lily est finalement aussi simple ? Les choix les plus évidents sont-ils les meilleurs ?

Le chemin d’une jeune femme pour se trouver et pour rompre le cycle de la violence.

Est-ce que l’amour peut tout excuser ?

Mon avis

Je vous préviens, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps pendant les 50 dernières pages et je ne suis pas du tout du genre à pleurer. Pourtant, cette histoire m’a touchée, vraiment touchée. On fait la rencontre de Lily qui vient de perdre son père violent, qui battait sa femme. Elle n’arrive pas à pardonner à sa mère son silence et son inaction ; ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’elle aussi va tomber dans le piège…

Elle fait la rencontre de Ryle, un jeune neurochirurgien brillant, intelligent, mais surtout blagueur et gentil. Le coup de foudre est immédiat entre eux. La vie les réunira pour le meilleur… et pour le pire.

Quand on fait la connaissance de Ryle, on ne se doute pas un instant de ce qu’il fera subir à sa douce. Il n’a pas de passé sombre, pas de tendances violentes ; il a tout d’un bon gars. C’est pourquoi il va être difficile pour Lily de s’en détacher. Ryle est l’opposé des conjoints violents qui emprisonnent leurs femmes et leur font subir un enfer. Mais Ryle peut être violent lorsqu’il est en colère et, ça, c’est inacceptable.

Ce récit est gorgé d’émotions puisque ce personnage est extrêmement nuancé et, surtout, réaliste. Les hommes violents ne sont pas tous des monstres, mais ce n’est pas une raison pour rester près d’eux et subir l’enfer. Ça m’a fait mal au coeur parce qu’on s’attache tellement à Ryle ! Et surtout, ça m’a fait penser à grand-mère qui subit de la violence conjugale (plus verbale ces dernières années) depuis près de 50 ans et qui n’arrive pas à s’en défaire parce que son mari l’a isolée de la société entière. C’est une bataille au quotidien.

Bref, cette romance (parce que, oui, il y a de la romance) m’a beaucoup touchée. La plume est magnifique, l’histoire prend aux tripes… Vraiment, je vous la conseille. C’est une histoire qui doit être découverte et partagée puisque c’est une réalité que beaucoup vivent. Par contre, prenez des mouchoirs, vous allez pleurer !

Interview : Gab Stael

Hello !

Aujourd’hui, on parle avec une auteure éditée en maison d’édition et en auto-édition.

  • Pouvez-vous nous parler de votre dernier roman édité (ou auto-édité) ? Quel est le thème ? Que représente-t-il à vos yeux ?

En pleine lumière est une comédie romantique écrite suite à un défi lancé par mon fils… Je devais écrire une histoire de amour, un roman où personne ne meurt… Laurine Kab, auteure, y narre sa relation spéciale avec John Sky, une star internationale. Elle se confie à ses fans et contre ses détracteurs. Elle fait la nique aux ragots qui pèsent sur elle et l’homme de sa vie. On découvre l’envers du décor du star system…

  • Pourquoi écrivez-vous ? Est-ce seulement un passe-temps ou votre passion ?

C’est un passe temps et une passion.

  • Si vous ne vivez pas de l’écriture, souhaitez-vous en vivre un jour ? Pourquoi ?

Pourquoi pas ?

  • Quel(s) genre(s) écrivez-vous ? Pensez-vous essayer de nouveaux genres un jour ?

Je suis assez touche à tout, je fonctionne au défi. J’ai écrit de la romance, de la comédie, du fantastique, de l horreur, du thriller et même de la poésie…

  • Quelles causes vous tenant à cœur intégrez-vous dans vos romans ? Pourquoi ?

Je parle parfois de la chasse, du réchauffement climatique, des jugements de valeurs… On peut écrire un roman de fiction tout en glissant des messages importants.

  • Avez-vous un rituel d’écriture ?

Du calme, du café ou du chocolat…

  • Avez-vous des étapes spécifiques à la création d’un livre (plan, rédaction, réécriture, correction ?) ? Quelles sont-elles ?

Recherches, plan que je ne respecte pas toujours, rédaction et réécriture… Bêta lecture et révision….

  • Le confinement a-t-il eu des impacts positifs ou négatifs sur votre écriture ? Vous sentez-vous démotivée ? Ou plus motivée que jamais ?

C’est plutôt négatif, l’ambiance morose est comme un boulet pour ma plume, j’avoue que j’avance comme un escargot, mais probablement car j’ai moins de temps seule à la maison…

  • Travaillez-vous sur un projet présentement ? Pouvez-vous nous en parler un peu ?

Oui, sur Ernest qui est un personnage principal de mon roman Human Food. Ce sera un huit clos, dans son esprit assez haut en couleur.

  • Pour conclure, quels auteurs vous inspirent ou vous font rêver avec leurs romans ?

Il y en a énormément… King, Werber, Asimov, Boule, Lovecraft, Poe, Masterton…. Austen…. Beaucoup, beaucoup…

Interview : Cécile Ama Courtois

Aujourd’hui, on parle avec une auteure éditée en maison d’édition et en auto-édition.

  • Si vous avez choisi un pseudo et non votre vrai nom, pourquoi cela ?

J’ai juste ajouté « Ama » à mon vrai nom parce que de très nombreux lecteurs, sur le net, ne me connaissaient que sous ce pseudo, et je ne voulais pas qu’ils aient trop de mal à retrouver mes livres.

  • Pouvez-vous nous parler de votre dernier roman édité (ou auto-édité) ? Quel est le thème ? Que représente-t-il à vos yeux ?

Le dernier est le second tome du conte des sept Chants, une trilogie fantasy dont le troisième et dernier tome est en cours d’écriture. Cette trilogie est mon plus gros bébé. Je travaille dessus depuis 2008, par intermittence. C’est un gros projet, ambitieux et dense, que je porte avec passion depuis que j’ai décidé de commencer à écrire. Entre temps, j’ai écrit et publié d’autres romans, des nouvelles et des recueils de poèmes, mais cette trilogie reste mon principal chantier.

  • Pourquoi écrivez-vous ? Est-ce seulement un passe-temps ou votre passion ?

Je suis d’abord une lectrice passionnée. J’ai longtemps été frustrée par le manque de féminité dans la Fantasy (mon genre préféré). Que ce soient les auteurs (tous des hommes, à l’époque), les personnages, les univers… tout était masculin. Quand j’ai décidé d’écrire, ma première raison était de remédier à cela en apportant une sensibilité féminine à la littérature Fantasy. Mais… beaucoup d’auteures ont eu la même idée que moi et nous sommes désormais nombreuses à apporter notre pierre à l’édifice.

  • Si vous ne vivez pas de l’écriture, souhaitez-vous en vivre un jour ? Pourquoi ?

J’en rêve, mais je sais que ce rêve est inaccessible. Je bataille depuis 2015 pour me faire une petite place, donner un peu de lumière à mes écrits et les faire connaître, mais je reste noyée dans la nasse, sans trop d’espoirs que cela change.

  • Quel(s) genre(s) écrivez-vous ? Pensez-vous essayer de nouveaux genres un jour ?

J’écris ce que je lis : Fantasy, un peu de Fantastique, et Romance. Souvent mélangés. Ces genres sont si pleins de possibilités, si foisonnants et riches que je suis loin d’en avoir exploré toutes les facettes, donc non. Je ne pense pas en changer avant longtemps.

  • Quelles causes vous tenant à coeur intégrez-vous dans vos romans ? Pourquoi ?

Il y en a beaucoup, et je tiens à ce que mes romans servent aussi d’étendards à mes valeurs. Le statut de la femme dans la société, d’abord. C’est mon principal cheval de bataille. C’est un sujet que j’aborde dans tous mes livres. Parfois de front, parfois de manière beaucoup plus subtile. Mais je défends aussi la bienveillance et la tolérance, la justice sociale, l’écologie, l’accueil de l’autre, la lutte contre toutes les discriminations.

  • Avez-vous un rituel d’écriture ?

Oh oui, je suis une méthode bien établie, issue de la méthode du flocon et que j’ai peaufinée avec l’expérience. Quand j’ai l’idée d’une histoire, je commence par y penser, en rêvasser pendant un certain temps. Je laisse mûrir. Puis je résume en une phrase, ou en quelques mots, l’intrigue principale. Ensuite, j’en fais un résumé un peu plus détaillé (je vous épargne les techniques, mais si ça vous intéresse, je vous encourage à lire la méthode du flocon). Ensuite viennent toutes les fiches : personnages, univers, temporalité, politique, historique, sociologique… Je fais ensuite un synopsis par personnage important (point de vue) pour m’assurer que tout est cohérent. J’établis également des fiches de recherches, des listes de noms, toutes sortes de choses qui ensuite, me seront utiles au moment de l’écriture. Après la phase d’écriture proprement dite vient la bêta-lecture : j’ai deux ou trois lectrices de choc qui relisent tout et m’indiquent tout ce qui ne va pas. Je modifie le texte en fonction de leurs remarques, puis je l’envoie à ma correctrice. Avec elle, nous repassons le manuscrit au peigne fin jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus la moindre erreur. Vient alors le moment de la mise en page, de la création de la couverture (il m’est arrivé de travailler avec une illustratrice de grand talent, mais pour le conte des sept Chants, j’ai choisi de tout faire moi-même), de la création de l’ebook.

  • Le confinement a-t-il eu des impacts positifs ou négatifs sur votre écriture ? Vous sentez-vous démotivés ? Ou plus motivés que jamais ?

Plutôt négatifs, je dirais. Au début, j’étais contente d’avoir plus de temps pour écrire, mais l’annulation de tous les salons a porté un gros coup d’arrêt à mes ventes, à ma motivation et à mon moral. En effet, les ventes par internet ne représentent qu’une petite partie de mon chiffre d’affaire habituel. J’avais espéré que les lecteurs, ne pouvant se fournir sur les salons ni dans les librairies, se tourneraient vers les sites des auteurs, ou à défaut amazon… eh bien pas du tout. Cette année 2020 est une catastrophe dont il sera difficile de se relever.

  • Travaillez-vous sur un projet présentement ? Pouvez-vous nous en parler un peu ?

Oui, je suis actuellement sur le troisième et dernier tome du conte des sept Chants. Un gros gros travail que j’espère terminer au printemps afin de clôturer la trilogie.

  • Pour conclure, quels auteurs vous inspirent ou vous font rêver avec leurs romans ?

Ils sont très nombreux, qui m’inspirent ou que j’admire. Les tous premiers à m’avoir donné envie d’écrire sont David et Leigh Eddings. Parce que j’ai adoré leurs histoires, mais surtout parce que durant des décennies, Leigh est demeurée coauteur non créditée de nombre de ses romans. Elle n’a été reconnue comme telle dans ses œuvres les plus récentes. Cette injustice, due à la misogynie ordinaire très présente dans le monde de la fantasy (et de la littérature en général) a été le déclencheur, pour moi.

Pour découvrir l’univers de l’auteure, rendez-vous sur son site !

Interview : Eloeïz A. Leroy

Aujourd’hui, on parle avec Eloeïz A. Leroy, une jeune auteure qui vient de publier son premier roman ! Retrouvez ma chronique de son roman juste ici.

  • Vous avez choisi un pseudo et non votre vrai nom, pourquoi cela ?

J’ai gardé mon prénom, mais changé le nom de famille non seulement pour garder mon vrai nom inconnu mais aussi pour me faire mon propre nom.

  • Pouvez-vous nous parler de votre dernier roman édité ? Quel est le thème ? Que représente-t-il à vos yeux ?

Il s’agit d’un roman mêlant historique et fantastique, il représente beaucoup à mes yeux, c’est le premier tome de ma trilogie, la première histoire dont je suis vraiment satisfaite !

  • Pourquoi écrivez-vous ? Est-ce seulement un passe-temps ou votre passion ?

J’ai commencé à écrire très jeune, pour m’évader du harcèlement que je subissais. Grandissant et les problèmes disparaissant, c’est devenu une passion qui me permettait d’apaiser mon esprit trop imaginatif.

  • Si vous ne vivez pas de l’écriture, souhaitez-vous en vivre un jour ? Pourquoi ?

Oui, j’aimerais beaucoup vivre de ma plume, ça serait un rêve qui devient réalité !

  • Quel(s) genre(s) écrivez-vous ? Pensez-vous essayer de nouveaux genres un jour ?

De le SFFF principalement et pour avoir essayé d’autres genres, je pense pas être faite pour autre chose.

  • Quelles causes vous tenant à coeur intégrez-vous dans vos romans ? Pourquoi ?

Le féminisme ! Toutes mes héroïnes sont des femmes fortes et indépendantes, qui n’ont pas besoin d’un homme pour dicter leurs vies. Si elles en choisissent un, elles font en sorte que ceux-ci voient en elles des égales et non pas des êtres inférieurs

  • Avez-vous un rituel d’écriture ?

Du thé, de la musique et en avant !

  • Avez-vous des étapes spécifiques à la création d’un livre (plan, rédaction, réécriture, correction ?) ? Quelles sont-elles ?

Je rédige pour chaque roman une sorte de scénario, une trame, qui consiste à un résumé de chaque chapitre pour savoir quoi écrire, connaître le début mais aussi la fin.

  • Le confinement a-t-il eu des impacts positifs ou négatifs sur votre écriture ? Vous sentez-vous démotivés ? Ou plus motivés que jamais ? 

Je me sens particulièrement démotivée malheureusement.

  • Travaillez-vous sur un projet présentement ? Pouvez-vous nous en parler un peu ?

Je travaille sur le tome 3 de ma trilogie, et en parallèle je travaille sur le premier tome d’une duologie fantasy qui parle d’espionnage, de complots politiques, d’aventure…

  • Pour conclure, quels auteurs vous inspirent ou vous font rêver avec leurs romans ?

Il y en a tellement ! Jules Verne, Rick Riordan, Jane Austen, Anne Robillard, Sophie Audoin Mamikonian..

Chronique : Running Out of Time

Hello !

Aujourd’hui, on se retrouve pour un nouveau service presse, je remercie encore Alter Real pour leur confiance. Si j’ai décidé de chroniquer ce roman, c’est parce que je connais l’auteure, qui vient de Wattpad, et je voulais découvrir à tout prix son histoire !

Titre : Running Out of Time T.1 : La Dernière Gardienne

Auteure : Eloeïz A. Leroy 

Genre : Fantastique historique

Maison d’édition : Alter Real

Résumé : Paris, 2019. Héléna McFinigan, jeune femme au caractère bien trempé enchaîne les jobs miteux. Orpheline, elle ignore tout de ses origines, de sa famille, alors quand elle reçoit une lettre d’une prétendue parente résidant dans les Highlands, elle n’hésite pas une seconde. Elle voit là l’occasion de s’offrir une parenthèse dans sa vie de galère et d’en savoir plus sur ses ancêtres, et sur elle-même. Écosse, 1742. Si Liam McLaren travaille dans les écuries du château de son Laird et lutte contre les Tuniques Rouges qui pullulent dans la région, il attend surtout de pouvoir récupérer ses terres des mains de son infâme beau-père. A priori, rien n’aurait dû réunir Héléna et Liam, mais les rouages du Temps recèlent bien des secrets… Plongez dans cette épopée fantastique où Gardiennes et Mercenaires du Temps s’affrontent depuis des siècles.

Pour l’acheter, c’est par ici !

Mon avis

Running Out of Time n’est définitivement pas une histoire que l’on peut mettre dans une case. Il y a du fantastique, de l’historique et un peu de romance, pour notre plus grand plaisir ! L’auteure nous amène dans le passé la majorité du roman et nous fait découvrir une époque loin de nous. Sans être lourdes, les descriptions de l’époque nous aident à mieux nous immerger dans le passé et à comprendre les mœurs.

L’intrigue, sans être réinventée, est très prenante et on s’identifie rapidement à l’héroïne. J’ai également aimé le fait que la personnage principale ne soit pas une jeune fille de 16 ans, mais plutôt de 23 ans ; cela fait changement et ajoute de la maturité au récit. Héléna est une jeune femme attachante !

La plume est très belle, ainsi que les descriptions. On se glisse très facilement dans la peau du personnage. Je dois avouer avoir trouvé quelques longueurs dans les descriptions, mais rien qui me décourage de ma lecture. J’ai pris plaisir à découvrir les différents rebondissements et retournements de situation. L’histoire ne manque pas de peps !

Le seul reproche que je pourrais faire concerne la romance qui se déroule très rapidement. Je peux concevoir que sept mois à se connaitre aboutit à une relation amoureuse, mais à un mariage ? Pour moi, c’est beaucoup trop rapide et malheureusement peu réaliste. Même si la romance n’est pas la base de cette histoire, il serait important selon moi de davantage montrer l’évolution des sentiments amoureux pour plus de réalisme.

En conclusion, ce premier tome est une bonne découverte pour moi ! Mis à part quelques longueurs et une romance un peu trop rapide, l’histoire n’a rien à se reprocher. Je me suis laissée emporter par l’imagination de l’auteure et sa belle plume. Je lui souhaite bien d’autres romans publiés !

Restez à l’affut ! Je donnerai bientôt mon avis sur ma chaine Youtube ! N’hésitez pas à vous abonner ici !

Chronique : Eldrid

Hello ! Aujourd’hui, je vous parle du premier tome d’Eldrid, un service presse gracieusement offert par HLAB. Merci de votre confiance !

Titre : Eldrid

Auteure : Camille Endell

Genre : Roman historique

Maison d’édition : HLAB

Nombre de pages : 280

Résumé : Angleterre, XIe siècle. Les combats entre Saxons et Vikings ravagent le pays tout entier.
Eldrid est née saxonne, mais a été capturée très jeune par les hommes du Nord. Elle a grandi au sein d’un clan viking et nourrit depuis toujours un amour défendu pour Erling Bjarnason, le chef de la horde.
Alors qu’un raid saxon approche, ceux qu’elle considère désormais comme les siens décident de partir pour le Danemark. Mais un affrontement sanglant survient, et seule Eldrid, du fait de ses origines, échappe au massacre.
Elle est recueillie par Godwin, un soldat saxon. Pour lui, elle est une captive qu’il vient de libérer. Pour elle, il est l’homme qui a exécuté ceux qu’elle aime.
Pour survivre, Eldrid devra choisir. Liens du cœur ou liens du sang  ? Dans un pays déchiré par la guerre, il n’y a pas de compromis possible…

Pour l’acheter, c’est par ici !

Mon avis

Je connais l’auteure de ce roman depuis quelques années grâce à Wattpad. Lorsque j’ai appris qu’elle était éditée chez HLAB, j’ai tout de suite voulu lire son livre, mais je n’ai jamais eu l’occasion de le faire… jusqu’à ce que la maison d’édition l’offre en service presse. Je me suis tout de suite jetée dessus !

Ce roman est superbe. Je ne suis pas fan des romans historiques (j’ignore pourquoi, j’adore l’histoire pourtant !), mais ce récit au temps des Vikings m’a beaucoup plus. C’est un sujet qu’on ne voit pas beaucoup, et c’est ce qui rend ce roman particulièrement intéressant. On n’a pas l’impression de relire du déjà-vu, et on apprend pas mal en lisant l’histoire, ce qui est super. Il y a eu pas mal de recherches sur l’époque et cela se ressent, sans être lourd à la lecture.

J’ai particulièrement aimé avoir le point de vue des barbares et des anglo-saxons, plutôt que voir un seul côté de la médaille. Du coup, notre cœur est déchiré entre les deux peuples, tout comme Eldrid, et on se sent encore plus investi dans l’histoire.

J’ai bien aimé les personnages, notamment cette fougueuse Elrid et sa loyauté légendaire. Je me suis beaucoup attachée à elle, les descriptions de ses émotions m’ont aidée à bien me glisser dans sa peau. Le style d’écriture de Camille est toujours aussi fluide et entrainant, ça se lit tout seul ! La qualité éditoriale est très bien, les erreurs sont rares, et cela nous permet une très bonne lecture.

La seule petite chose qui m’a un peu dérangée, c’est qu’il y a beaucoup de descriptions et assez peu de dialogues. J’aurais aimé avoir un peu plus de dialogues pour que cela ajoute du dynamisme et pour connaitre encore mieux les personnages. Heureusement, il reste deux autres, alors je ne les quitte pas tout de suite !

Bref, ce premier tome est pour une très bonne lecture. Moi qui ne suis pas fan des romans historiques, j’ai adoré celui-là. Le style d’écriture est superbe, des recherches ont été effectuées pour amener du dynamisme et les scènes de combats sont très bien décrites. Je suis prête à lire le tome 2 !

Chronique : No Way

Bonsoir,

Aujourd’hui, on se retrouve pour le service presse de No Way, de Céline Jeanne ! Je tiens encore à remercier Alter Real Éditions pour leur confiance.

Titre : No Way

Auteure : Céline Jeanne

Genre : Romance

Nombre de pages : 314

Résumé :

Accro au chocolat et aux parties d’échecs, fan de super héros, Teodora est une étudiante comme tant d’autres, du moins, elle aimerait bien…
Difficile de ne pas attirer l’attention quand votre frère jumeau est un surdoué du sport, une étoile montante du foot et que vous habitez Barcelone. Elle déteste cet univers et tout ce qui va avec, les médias et les groupies en particulier.
Elle a une certitude : sortir avec un sportif ? Jamais de la vie ! Plutôt dormir avec Marcelino, l’iguane de sa colocataire.

Dante est l’attaquant vedette de l’équipe B du Barça, il espère pouvoir suivre les traces de Lionel Messi. Son enfance difficile dans un bidonville de Buenos Aires l’a marqué à vie.
Il a connu la misère, le dénuement, et il veut mettre sa famille à l’abri du besoin. Pour toujours. Les filles ? Il les collectionne. Mais s’engager ? Jamais de la vie ! Il est parti de trop loin pour tout foutre en l’air.

Sauf que…

Ils devraient le savoir, on ne doit jamais dire jamais…

Pour acheter le roman, c’est par ici !

Mon avis

J’ai voulu aller dans une New Romance, quelque chose de plus épicé (comparé à ce que je lis d’habitude). Je me suis laissée transporter par ce genre de romans que je ne lis pas d’habitude. J’essaie toujours de m’ouvrir aux genres que je lis moins. Ici, je n’ai pas eu de coup de coeur, mais j’ai passé un bon moment.

C’est la première fois que je lis une romance avec des personnages évoluant dans le monde du football, et j’ai trouvé cela très intéressant. C’est un univers que j’ai bien aimé, ça fait différent des romances avec comme fond le monde du football américain ou du hockey. Cet élan de fraicheur m’a bien intéressée.

La romance est légère, sympa, parfois drôle, mais j’ai trouvé que la relation entre les deux personnages tournait beaucoup autour du sexe. Personnellement, je préfère lorsqu’il y a moins de sexe et plus de réflexions, mais ça ne veut pas dire que ce roman est mauvais, loin de là ! C’est une romance légère à lire sur le bord de la piscine, les joues rouges à cause de la chaleur de cette romance !

Bref, cette romance n’était pas exactement ma tasse de thé, mais elle saura assurément plaire aux amateurs de ce genre puisqu’elle est bien écrite et divertissante.

Chronique : Viens, on s’aime

Aujourd’hui, je vous parle d’une romance bien spéciale : Viens, on s’aime !

Titre : Viens, on s’aime

Auteure : Morgane Moncomble

Genre : New Romance

Maison d’édition : Hugo New Romance

Nombre de pages : 512

Résumé :

L’amour fleurit parfois là où on ne l’attend pas…

Beaucoup s’accordent à dire que l’amitié fille-garçon n’existe pas. Et pour cause ! Lorsque Loan et Violette se sont rencontrés, ce fut un véritable coup de foudre platonique. À cette époque, Loan était en couple avec Lucie depuis quatre ans, si bien qu’il n’avait d’yeux que pour elle.

Mais seulement un an plus tard, beaucoup de choses ont changé : Loan est un homme abattu depuis que sa petite-amie l’a quitté. Quant à Violette, elle commence tout juste une idylle avec le beau Clément – chose que Loan se surprend à détester. Alors quand sa meilleure amie, encore vierge, le supplie d’être son premier, il hésite. La proposition de Violette sent la mauvaise idée à plein nez… mais après tout, il ne s’agit que d’une fois. Rien qu’une. Pas vrai ?

Pour l’acheter, c’est par ici !

Mon avis

Avant ce roman, je n’avais aucune romance dans ma bibliothèque. Bien sûr, j’en avais lu quelques-unes à la bibliothèque municipale sur Wattpad, mais j’en avais jamais acheté. J’ai donc pris un risque avec Viens, on s’aime. Cela faisait plusieurs années que je voyais la couverture passer partout et je voulais essayer un Hugo, alors je me suis lancée.

Je ne le regrette pas ; c’est un coup de coeur, la meilleure romance que j’ai lue.

Je me suis tout de suite attachée aux différents personnages. L’auteure nous présente une bande d’amis tout aussi sympas les uns que les autres et on ne peut que s’attacher à eux. Surtout les deux personnages principaux qui ont une très belle relation.

Ce que je recherche dans une romance, ce n’est pas l’originalité, mais bel et bien les émotions fortes, et ce roman m’en a données ! Je suis passée par tout une gamme d’émotions, j’ai vécu avec les personnages leurs hauts et leurs bas, et j’ai voulu tuer l’auteure pour un certain événement qui arrive vers la fin (ceux qui ont lu le roman savent de quoi je parle, rip). J’ai carrément vécu le récit au travers des points de vue de Violette et Loan, et c’est ce qui m’a accrochée au roman.

Pas besoin de retournements farfelus pour dynamiser le récit ; l’auteure nous tient en haleine avec des rebondissements crédibles. Même si Loan est un beau pompier, pas de répit pour lui ! Il risque sa vie chaque fois qu’il va travailler. Les maladies mentales sont aussi bien traitées… bref, tous les thèmes abordés étaient super intéressants pour moi, et jamais je ne me suis ennuyée. Moi qui suis une fan de romans d’action et de science-fiction, je ne me suis pas lassée de cette romance. J’ai tout aimé.

Pas de scènes de sexe inutiles ou encombrantes, pas de relation amoureuse facile, pas de vie parfaite… bref, pour moi, ce premier roman de Morgane Moncomble est un énorme coup de coeur ! J’ai adoré la plume, les personnages, les thèmes abordés, les émotions et les valeurs véhiculées… Moi qui voulais économiser mes sous, eh bien, je sens que je vais bientôt craquer pour les autres romans de cette auteure !

Interview : my_tagada

Hello !

Aujourd’hui, on se retrouve pour l’interview de my_tagada, une bookstagrammeuse très présente sur Instagram. C’est la première bookstagrammeuse que j’ai suivie. Elle parle de ses lectures avec passion et à cause d’elle, j’ai acheté beaucoup trop de romans (oups). Je la remercie encore une fois d’avoir accepté de répondre à mes quelques questions !

Peux-tu te présenter brièvement ?

Alors, d’abord bonjour à tous ! Je m’appelle Sam, j’ai 20 ans, j’habite dans les Vosges et je suis une passionnée de lecture. Mais l’écriture, la mode et la communication sont aussi des activités qui m’animent au quotidien. Je viens de terminer ma seconde année de classe préparatoire et j’entre ( si tout va bien), dans une école de commerce à la rentrée de septembre. Mon but étant de devenir community manager (communication, marketing, mise en avant sur les réseaux sociaux) pour une maison d’édition. 


Voilà plus d’un an que tu possèdes un compte Bookstagram. Pourquoi t’être lancée dans cette aventure ?

C’est une bonne question ça. Il faut savoir que j’ai toujours aimé communiquer et mettre en avant des produits. Trouver ce mot, cette approche qui fera succomber l’acheteur. Au collège, je faisais de la fimo. C’est donc tout naturellement que j’ai eu envie de créer une chaine youtube pour parler de mes créations. Puis, au lycée, je le suis passionnée pour la mode, j’ai donc changé le nom de ma chaine et hop, je pouvais parler de rouge à lèvre. Puis avec la prépa, il m’a fallu un échappatoire, quelques chose pour me soulager, pour décompresser entre une heure et deux heures du matins ( les prépas connaissent cette fameuse horaires de liberté ou tu as l’impression que le monde t’appartient aha). Et c’est là que les livres sont entrés dans ma vie. C’est en créant un compte auteur sur instagram que j’ai commencé à découvrir la communauté booksta, puis je me suis lancé à mon tour ! Sur un coup de tête en plus !  


Qu’est-ce que tu aimes le plus faire sur ton Bookstagram ?

Je crois que j’aime chaque étape, chaque activité, chaque boulot si je peux dire sur insta. Que ce soit les updates, la photo, la chronique. Bref, j’aime tout. Mais j’avoue, j’ai ma préférence. En premier, c’est le format vidéo. Il me passionne ! Je trouve que tellement d’émotion se dégage par la voix, les gestes, les yeux. J’adore donc faire des updates à chaud en story ou tourner des vidéo sur IGTV. Je compte d’ailleurs incessamment sous peu me créer une chaine booktube.  

La seconde chose, c’est poster une photo dans laquelle j’ai mis du temps et du travail. Les retours des abonnés sont toujours géniaux et j’adore voir mon feed prendre vie à mesure que moi, je vis mes lectures.  


Quel est ton genre de romans ? Les romans que tu as préféré ?

Le genre de roman que je préfère est la romance. Mais pas les harlequins non, je vous rassure. Quoi que, il faudrait que je teste quand même ! J’aime tous les styles tant qu’il y a une histoire d’amour. Le fantastique, la bit lit, la dark romance, le young adult, bref beaucoup de chose tant que la romance est addictive. Pour le roman que j’ai préféré, c’est assez compliqué (voire impossible si je veux çetre dramatique) mais je vais vous faire un petit top : La saga Attirance criminelle de Jenn Guerrieri, le voleur de baiser et la saga sinners de L.J Shen, les Maccoy de Alexiane Thill, Coïncidence de Julie Bradfer, Prude à frange de CS quill… Bref, je vais m’arrêter là aha !  


Si un service presse ne te plait pas, que fais-tu ? Écris-tu tout de même une chronique ?

Si un service presse ne me plait pas (ce qui est déjà arrivé), je ne change absolument pas ma manière de faire qu’avec un roman que j’aurais moi-même payé. C’est une photo travaillée (enfin, j’espère aha ), une chronique sincère et détaillée sur le pourquoi du comment je n’ai pas aimé. Je suis de ces gens qui pensent que c’est impossible que TOUT soit négatif dans un roman. Je fais donc toujours ( sp ou non) un paragraphe positif ( sur la plume, le rythme ou même la couverture et le titre du roman) Mes maitres mots ? Honnêteté et bienveillance. 


Que conseilles-tu à ceux qui aimeraient se lancer dans un compte Bookstagram ?

Mon conseil pour ceux qui veulent se lancer ? Tout d’abord, n’ayez pas peur car quoi qu’il arrive il s’agit de votre compte, et vous serez donc vous même dessus. Pas besoin de se créer une identité, pas besoin de sur-jouer. C’est toi, tes romans et ta passion. Sauf si bien sûr, tu veux créer un personnage, mais ça c’est comme tu veux. Ce qui me fait venir à mon conseil, quoi que tu vives sur booksta, que ça marche, que ca ne marche pas, ne change jamais qui tu es et comment tu vis les choses pour les autres ou pour un objectif sur booksta. Trop de booksta changent lorsque leur compte s’envole, trop de plumes de chroniqueuses changent pour rentrer dans les codes des maisons d’édition et recevoir des service presse. Bref, sois toi ou pas comme je te le disais ou dessus, mais sois qui tu veux et vis le truc à fond, que pour toi. 


J’ai appris que tu étais sur Wattpad. Écris-tu un peu, beaucoup ? Quel est ton rapport avec l’écriture ?

Alors, oui, en effet, j’écris sur Wattpad. J’écrivais beaucoup au lycée. Avec la prépa, c’était beaucoup plus difficile de prendre du temps pour cette passion. Je n’écris pas plus d’un chapitre par mois.  Mais je compte bien un jour poser le point final à cette histoire que j’ai commencé à quand même 12 ans … (La honte…) Depuis, je l’ai récrit, et pas qu’une fois : à 14, 16, 18 ans, je réécrivais mon histoire pour qu’elle corresponde à ce que j’étais devenue. Maintenant, je pense avoir quelque chose d’assez solide pour rester sur mon idée.  Mon roman s’appelle Ma plus belle erreur, peut être qu’il pourrait vous plaire qui sait !  

Pour explorer le compte Wattpad de my_tagada, cliquez ici !

Encore un gros merci à elle pour avoir accepté de répondre à mes questions. J’espère que vous irez faire un tour sur son Bookstagram, elle le mérite !