Les dernières semaines ont été rythmées par la lecture de Ça, tomes 1 et 2. C’est une histoire que je voulais lire depuis longtemps, moi qui ai déjà lu quelques romans de Stephen King. Je suis loin d’être fan des films d’horreur, mais les romans d’horreur… alors là, j’adore ! Et ce classique de la littérature horrifique ne m’a pas du tout déçue.
Titre : Ça
Auteur : Stephen King
Genre : Horreur
Nombre de tomes : 2
Résumé : Tout avait commencé juste avant les vacances d’été quand le petit Bowers avait gravé ses initiales au couteau sur le ventre de son copain Ben Hascom. Tout s’était terminé deux mois plus tard dans les égouts par la poursuite infernale d’une créature étrange, incarnation même du mal. Mais aujourd’hui tout recommence. Les enfants terrorisés sont devenus des adultes. Le présent retrouve le passé, le destin reprend ses droits, l’horreur ressurgit. Chacun retrouvera dans ce roman à la construction saisissante ses propres souvenirs, ses angoisses et ses terreurs d’enfant, la peur de grandir dans un monde de violence.
Malheureusement, de plus en plus de romans d’horreur ne sont qu’une succession d’actes horrifiques, et c’est tout. Ça, c’est beaucoup plus que cela. Il y a des scènes horrifiantes, du mystère, de la tension, beaucoup de suspense et d’action, mais aussi des moments plus calmes. King sait comment tenir son lecteur accroché et comment doser les scènes d’action, de massacre et de calme. Je trouve que l’introduction des personnages au premier tome est un peu trop longue et certains passages ne sont pas utiles au roman, mais sinon, je ne me suis ennuyée à aucun moment.
Tout au long de ces 1500 pages d’horreur, nous alternons entre le passé et le présent. Ils étaient sept au départ, ils ne sont que six désormais. Ils ont oublié ce qu’il s’est passé il y a 27 ans, mais les souvenirs reviennent peu à peu… et ils sont terrifiants. Découvrir les souvenirs qui remontent à la surface est difficile autant pour les personnages que le lecteur. À aucun moment, je n’ai voulu arrêter ma lecture, mais je me contentais de 70 pages par jour pour bien digérer tous les événements. La créature Ça ne tuant pratiquement que des enfants, la lecture n’est pas appropriée pour tout le monde.
La découverte de la véritable nature de Ça a été très surprenante pour moi. Je ne m’attendais pas à cela ! Le retournement de situation était très bien trouvé, vraiment. J’ai beaucoup aimé la façon dont Ça est vaincu (ou blessé), c’est très original et le message que cela transmet est très fort !
Les personnages sont hyper attachants, autant lorsqu’ils ont 12 ans que 39 ans. Je me suis vraiment attachée à eux pendant ces dernières semaines, donc la fin m’a brisée le cœur. Peut-être même plus que lors des massacres d’enfants ! Les relations amicales qu’entretiennent les personnages sont si fortes que cela ajoute un peu de bonne humeur et de fraicheur à ce roman bien sombre.
La plume est parfaite, les retournements sont super addictifs… coudonc, y a-t-il un point négatif ? Eh bien, il y a une scène qui m’a profondément choquée et dont je ne vois pas du tout l’utilité, honnêtement. Les enfants disent que c’était nécessaire, mais je ne comprends toujours pas en quoi c’était nécessaire. J’ai sauté les quelques pages de ce passage parce que cela ne m’apporterait rien que du dégoût.
Bref, pour moi, Ça est un immense coup de cœur, et assurément mon livre préféré de Stephen King. J’ai dévoré les pages et ai (presque) tout adoré de ce roman. Je le conseille à tous les grands fans d’horreur. Le clown le plus célèbre du cinéma vous attend lui aussi…
Aujourd’hui, on se retrouve pour un nouveau service presse, je remercie encore Alter Real pour leur confiance. Si j’ai décidé de chroniquer ce roman, c’est parce que je connais l’auteure, qui vient de Wattpad, et je voulais découvrir à tout prix son histoire !
Titre : Running Out of Time T.1 : La Dernière Gardienne
Auteure : Eloeïz A. Leroy
Genre : Fantastique historique
Maison d’édition : Alter Real
Résumé : Paris, 2019. Héléna McFinigan, jeune femme au caractère bien trempé enchaîne les jobs miteux. Orpheline, elle ignore tout de ses origines, de sa famille, alors quand elle reçoit une lettre d’une prétendue parente résidant dans les Highlands, elle n’hésite pas une seconde. Elle voit là l’occasion de s’offrir une parenthèse dans sa vie de galère et d’en savoir plus sur ses ancêtres, et sur elle-même. Écosse, 1742. Si Liam McLaren travaille dans les écuries du château de son Laird et lutte contre les Tuniques Rouges qui pullulent dans la région, il attend surtout de pouvoir récupérer ses terres des mains de son infâme beau-père. A priori, rien n’aurait dû réunir Héléna et Liam, mais les rouages du Temps recèlent bien des secrets… Plongez dans cette épopée fantastique où Gardiennes et Mercenaires du Temps s’affrontent depuis des siècles.
Running Out of Time n’est définitivement pas une histoire que l’on peut mettre dans une case. Il y a du fantastique, de l’historique et un peu de romance, pour notre plus grand plaisir ! L’auteure nous amène dans le passé la majorité du roman et nous fait découvrir une époque loin de nous. Sans être lourdes, les descriptions de l’époque nous aident à mieux nous immerger dans le passé et à comprendre les mœurs.
L’intrigue, sans être réinventée, est très prenante et on s’identifie rapidement à l’héroïne. J’ai également aimé le fait que la personnage principale ne soit pas une jeune fille de 16 ans, mais plutôt de 23 ans ; cela fait changement et ajoute de la maturité au récit. Héléna est une jeune femme attachante !
La plume est très belle, ainsi que les descriptions. On se glisse très facilement dans la peau du personnage. Je dois avouer avoir trouvé quelques longueurs dans les descriptions, mais rien qui me décourage de ma lecture. J’ai pris plaisir à découvrir les différents rebondissements et retournements de situation. L’histoire ne manque pas de peps !
Le seul reproche que je pourrais faire concerne la romance qui se déroule très rapidement. Je peux concevoir que sept mois à se connaitre aboutit à une relation amoureuse, mais à un mariage ? Pour moi, c’est beaucoup trop rapide et malheureusement peu réaliste. Même si la romance n’est pas la base de cette histoire, il serait important selon moi de davantage montrer l’évolution des sentiments amoureux pour plus de réalisme.
En conclusion, ce premier tome est une bonne découverte pour moi ! Mis à part quelques longueurs et une romance un peu trop rapide, l’histoire n’a rien à se reprocher. Je me suis laissée emporter par l’imagination de l’auteure et sa belle plume. Je lui souhaite bien d’autres romans publiés !
Restez à l’affut ! Je donnerai bientôt mon avis sur ma chaine Youtube ! N’hésitez pas à vous abonner ici !
Aujourd’hui, on parle d’un roman reçu en service presse, soit le premier tome de Nefasta ; Ornella ! Je remercie encore l’auteure pour sa confiance.
Titre : Nefasta, T.1 Ornella
Auteure : Julie Dauge
Genre : Romance fantastique
Maison d’édition : Auto-édition
Nombre de pages : 540
Résumé : Ornella est une jeune femme comme les autres. Enfin, elle le croyait, jusqu’à ce qu’un événement aux conséquences irrémédiables vienne bouleverser à jamais sa vie. Lorsqu’une inconnue s’invite à l’improviste chez elle en prétendant avoir la clé pour l’aider à comprendre qui elle est vraiment, Ornella pense avoir affaire à une déséquilibrée. Mais ses doutes s’envolent dès que sa route croise celle d’Ailean, le roi des vampires au charme magnétique. Elle est alors obligée d’admettre l’impensable. Traquée par des mages prêts à tout pour qu’elle meure avant de tomber dans les bras de l’ennemi, pourchassée par des vampires obsédés par son sang, Ornella n’est pas au bout de ses peines, car tous sont décidés à gagner cette chasse à la sorcière.
Il s’agit d’un roman auto-édité, alors je me suis tout de suite sentie interpellée par l’appel à chroniqueurs de l’auteure, ayant moi-même auto-édité un livre. De plus, le résumé m’intéressait vraiment, et j’étais prête à découvrir une histoire avec des vampires différents des livres de nos jours.
C’est d’ailleurs avec cette impression que je sors de ma lecture. Le mythe du vampire est bien traité ici, même s’il ressemble énormément à l’être humain, il n’est pas une copie de tous ces clichés qu’on peut retrouver. Pas de guerres vampires contre loups-garous ici, il n’y a même pas de loups-garous ! On ne va pas dans le totalement nouveau, mais l’histoire sait se démarquer, notamment par les Nefasta, êtres aux pouvoirs particuliers.
J’ai bien aimé les personnages, surtout Ornella avec son caractère fort. Je me suis bien reconnue en elle ! Par contre, je dois avouer avoir eu de la difficulté avec la romance qui se développe entre Ornella et le roi des vampires. Je crois aux coups de foudre et je comprends que les âmes sœurs ont un lien particulier, cependant on dirait qu’ils sont amoureux depuis un an ! J’aurais vraiment aimé voir une évolution dans les sentiments, un approfondissement, pour qu’on puisse bien comprendre comment l’attirance physique passe aux sentiments amoureux. Je pense qu’ainsi j’aurais pu adhérer à la romance !
Quant à la qualité du texte, eh bien, c’est de la qualité pour un roman auto-édité ! Il y a des bons romans comme des moins travaillés, mais ici, la forme est très bien. J’ai repéré quelques erreurs d’inattention et de ponctuation, cependant il n’y a rien qui empêche la compréhension de l’histoire. La plume de l’auteure est très fluide et entrainante, les chapitres se lisent rapidement !
Bref, ce premier tome est pour moi une bonne lecture. La lecture est facile et agréable, cependant la rapidité de la romance m’a quelque peu dérangée. Je recommande ce roman à tous les passionnés de vampire !
Aujourd’hui, on se retrouve pour la chronique de Morning Star, soit le troisième tome de la saga Red Rising. Vous le savez, j’ai adoré les deux premiers tomes de cette saga qui est rapidement devenue ma meilleure lecture à ma vie. Eh bien, le troisième tome ne m’a pas déçue, loin de là !
Titre : Morning Star
Auteure : Pierce Brown
Genre : Science-fiction
Maison d’édition : Hachette
Nombre de pages : 560
Résumé : « JE SUIS LE FAUCHEUR. JE CONNAIS LA DOULEUR. JE CONNAIS LES TÉNÈBRES. CE N’EST QUE LE DÉBUT. »
Darrow aurait voulu vivre en paix. Ses ennemis l’ont jeté dans la guerre. Darrow s’est élevé parmi les puissants qui dirigent la Société pour mieux préparer sa révolution.
À présent, la fin du règne tyrannique des Ors a enfin sonné.
Malgré les doutes qui l’assaillent, malgré les anciens amis qu’il va devoir affronter aux quatre coins du Système solaire, Darrow est plus que jamais déterminé à briser les chaînes…
J’avais un peu peur de commencer ce troisième tome puisque je ne voulais absolument pas terminer cette trilogie coup de cœur. Il y a une deuxième trilogie, mais Hachette a décidé d’arrêter sa traduction (et je déteste lire en anglais). Donc, bon, je me suis lancée dans la lecture avec un petit pincement au cœur.
Je me suis rapidement remise dans l’univers de Red Rising, un univers super bien développé et intéressant. Dans ce troisième tome, on a pu découvrir d’autres peuples et d’autres territoires, ce qui est très intéressant. J’ai particulièrement aimé le peuple des Obsidiens, même si certains sont assez sadiques, avouons-le.
Sinon, la majorité de ce tome se concentre sur l’affrontement final et il est intéressant de voir la complexité d’une guerre, les décisions difficiles à prendre, les dilemmes, et surtout, les conséquences. Parce que, oui, l’auteur est toujours sadique et j’ose même dire qu’il bat ici des records de cruauté. Je pense notamment aux retournements de situation multiples vers la fin du roman ; je n’avais pas du tout vu venir cette fin ! C’est brillamment joué, vraiment, j’ai adoré.
C’est une larme à l’oeil que j’ai refermé ce roman. Je me suis tellement attachée aux personnages ! Les personnages vivent des situations difficiles, mais aussi des moments complices avec leurs amis, et franchement, c’est impossible de ne pas s’attacher à eux. Alors, chaque fois qu’un personnage meurt, je n’ai pas pu m’empêcher de laisser couler quelques larmes.
Bref, je manque de mots pour vous décrire mon amour pour cette série. Elle est bien écrite, fluide, entrainante, surprenante, addictive ; c’est LA saga à lire. Franchement, c’est ma série préférée à vie pour moi, grande fan de science-fiction. Je sais d’avance que je la relirai à plusieurs reprises puisque c’est une petite pépite d’or ! Je vous la recommande à tous !
Aujourd’hui, on parle du spin-off de mon coup de coeur Viens, on s’aime ; soit Aime-moi, je te fuis.
Titre : Aime-moi, je te fus
Auteure : Morgane Moncomble
Genre : New Romance
Nombre de pages : 560 (version poche)
Maison d’édition : Hugo Poche
Résumé :
Tout le monde sait que la meilleure façon d’oublier son ex est de s’envoyer en l’air avec un inconnu. Non ? En tout cas, Zoé en est persuadée. Justement, elle trouve l’homme idéal pour le job dans un bar irlandais : un sourire idiot, un corps parfait et un pull de Noël ridicule, que demander de plus ? Zoé l’aurait même rappelé… s’il n’avait pas été le pire coup de sa vie.
C’est décidé, Jason arrête les plans d’un soir. Il aurait dû comprendre le message plus tôt, mais cette nuit avec l’inconnue aux cheveux roses l’a convaincu : plus jamais ! Du moins, jusqu’à ce que l’inconnue en question se révèle être Zoé, la colocataire de son meilleur ami, Loan.
Le souvenir de leur nuit catastrophique les pousse à se détester dès le début. Mais lorsque Zoé vient lui demander de l’aide, Jason lui propose un deal qu’elle ne pourra pas refuser.
Lorsque j’ai appris qu’il y avait un spin-off qui tournait autour de la relation de Jason et Zoé, j’ai tout de suite sauté dessus. Il me le fallait ! Les personnages de Viens, on s’aime sont présents, mais relégués au plan de personnages secondaires, tandis que Jason et Zoé sont désormais les protagonistes. On découvre ces deux jeunes adultes d’une manière différente. On comprend pourquoi ils agissent ainsi, ce qui se passe dans leur tête, comment ils ont vécu certains événements de Viens, on s’aime, mais surtout, ce qu’ils ont fait pendant que Loan et Violette construisaient leur relation.
À première impression, Aime-moi, je te fuis peut ressembler à un hate-to-love, mais ce n’est pas ça du tout ! Jason et Zoé ont des personnalités fortes, il y a des flammèches, mais ils sont toujours attirés l’un vers l’autre. Au contraire du premier livre, celui-ci est plus mouvementé, plus engagé. On parle de sexisme, de bisexualité, légèrement d’adoption, du pervers narcissique, de la famille et… de sexe ! La première rencontre des personnages se fait sur un one-night, alors il y a quelques scènes chaudes, même il est tout à fait possible de les sauter si vous ne vous sentez pas à l’aise.
Difficile pour moi de vous dire à quel point j’ai adoré ce roman, peut-être même plus que Viens, on s’aime. La plume de l’auteure est toujours aussi fluide, les rebondissements sont inattendus et, surtout, elle parvient avec brio à nous faire ressentir un tas d’émotions. Pour être honnête, les 50 dernières pages ont été difficiles émotivement ; j’avais les larmes aux yeux (et l’auteure a broyé mon petit coeur !).
Bref, pour la lectrice difficile en romance que je suis, l’auteure a réussi une fois de plus à me faire voyager, aimer, pleurer, apprécier ma lecture. Ces autres romans me font de l’oeil !
Aujourd’hui, je vous parle d’une romance bien spéciale : Viens, on s’aime !
Titre : Viens, on s’aime
Auteure : Morgane Moncomble
Genre : New Romance
Maison d’édition : Hugo New Romance
Nombre de pages : 512
Résumé :
L’amour fleurit parfois là où on ne l’attend pas…
Beaucoup s’accordent à dire que l’amitié fille-garçon n’existe pas. Et pour cause ! Lorsque Loan et Violette se sont rencontrés, ce fut un véritable coup de foudre platonique. À cette époque, Loan était en couple avec Lucie depuis quatre ans, si bien qu’il n’avait d’yeux que pour elle.
Mais seulement un an plus tard, beaucoup de choses ont changé : Loan est un homme abattu depuis que sa petite-amie l’a quitté. Quant à Violette, elle commence tout juste une idylle avec le beau Clément – chose que Loan se surprend à détester. Alors quand sa meilleure amie, encore vierge, le supplie d’être son premier, il hésite. La proposition de Violette sent la mauvaise idée à plein nez… mais après tout, il ne s’agit que d’une fois. Rien qu’une. Pas vrai ?
Avant ce roman, je n’avais aucune romance dans ma bibliothèque. Bien sûr, j’en avais lu quelques-unes à la bibliothèque municipale sur Wattpad, mais j’en avais jamais acheté. J’ai donc pris un risque avec Viens, on s’aime. Cela faisait plusieurs années que je voyais la couverture passer partout et je voulais essayer un Hugo, alors je me suis lancée.
Je ne le regrette pas ; c’est un coup de coeur, la meilleure romance que j’ai lue.
Je me suis tout de suite attachée aux différents personnages. L’auteure nous présente une bande d’amis tout aussi sympas les uns que les autres et on ne peut que s’attacher à eux. Surtout les deux personnages principaux qui ont une très belle relation.
Ce que je recherche dans une romance, ce n’est pas l’originalité, mais bel et bien les émotions fortes, et ce roman m’en a données ! Je suis passée par tout une gamme d’émotions, j’ai vécu avec les personnages leurs hauts et leurs bas, et j’ai voulu tuer l’auteure pour un certain événement qui arrive vers la fin (ceux qui ont lu le roman savent de quoi je parle, rip). J’ai carrément vécu le récit au travers des points de vue de Violette et Loan, et c’est ce qui m’a accrochée au roman.
Pas besoin de retournements farfelus pour dynamiser le récit ; l’auteure nous tient en haleine avec des rebondissements crédibles. Même si Loan est un beau pompier, pas de répit pour lui ! Il risque sa vie chaque fois qu’il va travailler. Les maladies mentales sont aussi bien traitées… bref, tous les thèmes abordés étaient super intéressants pour moi, et jamais je ne me suis ennuyée. Moi qui suis une fan de romans d’action et de science-fiction, je ne me suis pas lassée de cette romance. J’ai tout aimé.
Pas de scènes de sexe inutiles ou encombrantes, pas de relation amoureuse facile, pas de vie parfaite… bref, pour moi, ce premier roman de Morgane Moncomble est un énorme coup de coeur ! J’ai adoré la plume, les personnages, les thèmes abordés, les émotions et les valeurs véhiculées… Moi qui voulais économiser mes sous, eh bien, je sens que je vais bientôt craquer pour les autres romans de cette auteure !
Aujourd’hui, on parle d’une série de livres que j’ai adoré ; La Faucheuse !
J’ai d’ailleurs récemment appris que Neal Shusterman fait partie de la communauté noire américaine… encourageons les artistes de cette magnifique communauté !
Alors, j’ai lu les deux premiers tomes il y a quelque temps et le troisième tome, je l’ai dévoré la semaine passée. J’ai quitté cette merveilleuse série avec grand regret… mais au moins, j’ai un autre roman de l’auteur, Dry, dans ma PAL, alors je me console.
Résumé du tome 1
Les commandements du Faucheur : Tu tueras. Tu tueras sans aucun parti pris, sans sectarisme et sans préméditation. Tuaccorderas une année d’immunité à la famille de ceux qui ont accepté ta venue. Tu tueras la famille de ceux qui t’ont résisté.
« MidAmérique, milieu du 3e millénaire. Dans un monde où la maladie a été éradiquée, on ne peut plus guère mourir qu’en étant tué aléatoirement (« glané ») par un faucheur professionnel. Citra et Rowan sont deux adolescents qui ont été sélectionnés pour devenir apprentis-Faucheurs ; et, bien qu’ils aient cette vocation en horreur, ils vont devoir apprendre l’art de tuer et comprendre en quoi cette mission est bel et bien une nécessité. Mais seul l’un des deux adolescents sera choisi comme apprenti à part entière, et lorsqu’il devient clair que la première tâche du vainqueur sera de glaner la vie du perdant, Citra et Rowan se retrouvent dressés l’un contre l’autre bien malgré eux… »
Mon avis
J’ai tout de suite été embarquée par l’idée principale du roman et le concept des Faucheurs. L’idée peut sembler d’abord grotesque et impossible, mais l’auteur arrive à amener le concept de façon crédible et hyper organisée. J’ai aimé le fait que malgré l’éradication des maladies, on pense à l’équilibre du monde et à la surpopulation. Et bien évidemment, comme dans tout aspect de la société, il y a des gens qui abusent du système (les Faucheurs mécréants).
L’auteur a rapidement réussi à me faire accrocher par les retournements imprévisibles et son sadisme hors-pair. À aucun moment je ne me suis dit qu’il exagérait, tout concordait, à mon avis, dans cet univers… pas si lointain que ça, finalement !
On commence à suivre Citra et Rowan, deux jeunes apprentis d’un Faucheur. Les deux veulent devenir Faucheur, mais un seul ne peut atteindre ce poste… et lors de l’épreuve finale, tout ne se passe pas comme prévu. Le Faucheur disparait, et l’un des deux apprentis se charge par la suite de punir les Faucheurs corrompus. Mais le mal ne s’éteint jamais. Lors d’une rencontre importante sur une île sacrée des Faucheurs, un terrible accident arrive… Ce qui nous mène au tome 3, alors que le Thunderhead, l’intelligence artificielle, s’éteint. J’aimerais tant en dire plus, mais je ne peux pas vous spoiler. Alors, ce qu’il y a à retenir, c’est que cette série est remplie de rebondissements et prend des directions auxquelles on ne s’attendait vraiment pas.
On s’attache à des personnages et on déteste d’autres persos. L’auteur a même réussi à créer une religion en lien avec le refus de la technologie, et il la met beaucoup au premier plan dans le troisième tome, sans que ce ne soit trop présent.
Je dois avouer que 150 pages avant la fin, je n’avais aucune idée comment l’auteur pourrait conclure avec brio la série… et il l’a pourtant fait. Je m’attendais à tout, franchement tout, mais certainement pas à cette fin. Elle a beau être satisfaisante, elle m’a détruite de l’intérieur. Je m’étais tellement attachée aux personnages que j’ai eu énormément de difficulté à retenir mes émotions. Et encore aujourd’hui, j’espère secrètement qu’il y aura un autre tome, même si elle n’est pas nécessaire.
Bref, pour moi, ce n’est pas seulement une série pour jeunes adultes de science-fiction. C’est une série très bien construite avec des personnages attachants, un concept super, des retournements incroyables, un suspense énorme et… pas de romance ! À découvrir à tout prix.
On se retrouve aujourd’hui pour un service presse de HLAB, soit Little Shade.
Titre : Little Shade
Auteure : Maeva Bonachera
Genre : Fantastique
Nombre de pages : 525
Maison d’édition : HLAB
Résumé : Depuis sa naissance, Bastet peut se transformer en jaguar, une capacité qu’elle et sa famille ont toujours pris soin de cacher. Mais depuis son déménagement à Exeter, Bastet ne cesse de croiser le même homme. Un homme qui semble savoir à son sujet des choses qu’elle-même ignore… Elle croyait être unique, elle se trompait. Son secret n’en est plus un. Dorénavant, où qu’elle ira, le danger rôdera.
J’ai vu plusieurs fois l’auteure passer dans mon feed Instagram puisqu’elle est abonnée à mon compte, et c’est seulement en cliquant sur son profil que je me suis rendu compte que son roman venait de sortir… il me fallait donc le lire ! Et je suis ravie que sa maison d’édition m’offre la possibilité de découvrir cette histoire.
On fait donc la connaissance de Bastet, une jeune femme qui déménage et ouvre sa petite boutique. Elle a toujours vécu avec une deuxième part d’elle, une part jaguar, et a dû s’y adapter. Mais un jour, elle apprend qu’elle n’est pas la seule à vivre ainsi…
Premièrement, la couverture est superbe, on a envie de se glisser tout de suite dans cette histoire de métamorphes et d’aventures. Je me suis tout de suite laissée emporter par la plume très fluide de l’auteure et ses belles descriptions, notamment au niveau des émotions. C’est la première fois que je vois les descriptions des émotions du personnage principal aussi bien décrites et approfondies ; c’est génial, ça permet de bien se glisser dans la peau des personnages !
Chapeau aussi au travail éditorial qui est impeccable et nous permet de nous immerger pleinement dans cet univers de métamorphes, de tentatives de meurtres, de mystères et de dangers. Même si le roman est assez long à démarrer, à partir de la moitié de l’histoire on embarque à fond dans l’histoire et le suspense est à son comble. On n’oublie pas les émotions au profit de l’action, et c’est ce que j’ai beaucoup aimé. Il est donc facile de s’attacher aux personnages, mention spéciale à Mimir que j’ai ADORÉ !
Par contre, les 250 premières pages sont longues, très longues. Ça prend du temps avant d’entrer dans l’action, et les descriptions sont longues et se répètent beaucoup dans la première partie du roman. J’ai malheureusement sauté plusieurs pages parce qu’elles se répétaient et que je voulais un peu plus d’action ! Heureusement, passée cette première page, on a le droit à plus d’action et on ne peut plus quitter l’histoire.
En conclusion, un roman intéressant qui traite de métamorphes d’une façon intéressante, mais qui est loin à démarrer et un peu répétitif !
Hello ! Aujourd’hui, je vous parle de mon dernier service presse, envoyé par une jeune auteure auto-éditée. Merci encore à elle pour l’envoi papier !
Titre : Forgive Me
Auteure : Ari Augustin
Roman auto-édité
Genre : Romance
Nombre de pages : 356
Résumé :
« — Seulement, rappelle-toi que tu ne trouveras jamais une femme plus parfaite que moi, Adam. Il ricana, amusé. — Tu es narcissique, ma Beauté. Vexée, je tapai mon index sur son torse en répétant chaque syllabe pour qu’il enregistre : — Jamais. »
Lya Emilie James n’est nulle autre que la magnifique épouse du richissime duc anglais, Adam Larry James. Créatrice de mode renommée, femme de caractère, attitude de garce hautaine et un brin folle, on peut très bien croire qu’elle mène une vie de reine.
Seulement, quand on y fait bien attention, on constate qu’elle vit dans les bris du scandale qui emporte peu à peu son mariage vers la dérive. En froid avec son mari qui enchaine les maîtresses et qui refuse le divorce, elle essaye par tous les moyens de retrouver grâce à ses yeux pour se faire pardonner. Jusqu’au prochain coup bas d’Adam…
Mais alors qu’elle lui déclare la guerre, revendiquant ainsi son respect, son trône et ses droits, les choses prennent une tournure différente qui sème le doute dans son esprit.
Qui disait qu’être parfaite rimait à être une bonne épouse ?
Premièrement, parlons de cette magnifique couverture ! Elle est probablement l’une des plus belles de ma bibliothèque et j’ai déjà hâte de voir à quoi ressemblera celle du tome deux… Et aussi, il y a de superbes illustration à chaque début de chapitre, elles sont superbes. Je vous le dis, c’est plus qu’un roman ; c’est une œuvre d’art !
Certains le savent, je suis plus difficile en matière de romance parce que j’aime qu’on sorte des sentiers battus. Et c’est exactement ce que nous propose ici l’auteure ! Pour ma part, c’est la première fois que je lis une romance avec deux protagonistes mariés qui ont fait, tous les deux, des erreurs et qui essaient en quelque sorte de se racheter. J’aime beaucoup le fait que les amoureux soient mariés, mais aussi plus âgés (vers la fin vingtaine). Du coup, j’ai trouvé que leur relation houleuse était plus crédible, et ça fait différent !
Parlons d’ailleurs de ces personnages aux caractères forts ! J’ai bien aimé le fait qu’il n’ait pas qu’un personnage au caractère fort, en fait… il y en a une tonne ! Donc, attendez-vous à des engueulades, à de l’action et peut-être même à un peu de sang ? (Chuuut) On retrouve également de la diversité au niveau des personnages, que ce soit au niveau de leur couleur de peau, de leur situation amoureuse… bref, je suis vraiment contente de cette diversité, sans qu’elle soit montrée, ni forcée ; tout est intégré en douceur comme si c’était normal, et ça l’est !
Vous l’aurez compris, ce genre d’œuvre, c’est un peu un pas en avant, un pas en arrière, sauf que je n’ai pas trouvé l’histoire si répétitive puisqu’il y a plusieurs retournements inattendus et que l’auteure s’assure qu’on ne s’ennuie pas. On a le droit à des discussions enflammées, des engueulades épiques, de la tentation, de la séduction et à bien d’autres choses auxquelles vous ne vous attendez pas…
Pour un premier roman, Ari Augustin frappe fort ! Elle ne se perd pas en cours de route et nous offre un roman de bonne longueur qui se dévore rapidement. Il s’agit là d’une excellente lecture pour passer le temps. La plume est fluide et les erreurs ne sont pas nombreuses ; on a là un excellent roman auto-édité. Toujours pas convaincus ? Voici 5 bonnes raisons de l’acheter !
1. L’auteure vient de Wattpad. Eh non, il n’y a pas que des chroniques et des romans clichés qui viennent de Wattpad ; il y a aussi de superbes romans comme celui-là.
2. C’est une œuvre auto-éditée. Il est temps d’encourager les romans auto-édités et de montrer qu’ils ne sont pas inférieurs aux romans édités en maison d’édition !
3. L’auteure est canadienne, donc pour moi, c’est encourager une auteure de ma région, et pour vous c’est encourager une auteure de la francophonie !
4. La couverture est superbe, ainsi que les illustrations. Vous DEVEZ avoir ce roman dans votre bibliothèque.
5. L’histoire est facile à lire, agréable, intéressante, qu’avez-vous besoin de plus ?
Bref, vous l’aurez compris, j’ai bien aimé ce premier tome. Pour moi, c’est un excellent premier roman pour l’auteure et malgré quelques fautes qui peuvent facilement être corrigées, on passe rapidement outre pour dévorer cette histoire intéressante et captivante !
Comme certains le savent, sur mon compte Wattpad, j’organise des concours avec une correction, une lecture de l’œuvre et un avis final. Aujourd’hui, je vous présente les 4 premiers grands gagnants de ce concours !
Vous pouvez m’appeler Joy, parce que c’est vraiment ce que l’écriture me fait ressentir. J’ai habité au Royaume Uni, en Suisse et en Allemagne avant de revenir en France. J’ai vingt-sept ans, presque toute mes dents et dans une autre vie, je travaille dans le marketing.
– Peux-tu présenter ton histoire gagnante ?
Le Dernier Vol des Oiseaux de Sang est le deuxième « vrai » roman que j’ai écrit dans ma vie. Il a vu le jour en 2016, alors que j’habitais à Berlin. C’est la rencontre éclair avec un sans abris dans les couloirs du métro qui m’a inspiré l’un des deux personnages principaux. Il s’agit d’un drame romantique ayant pour thème de fond les difficultés que présente la recherche du bonheur, au sein d’une société violente et matérialiste. Partant de là, j’ai articulé le scénario sur mes principaux centres d’intérêt, à savoir la psychologie, les œuvres d’art et la ville de New York et j’ai écrit le premier jet en trois mois, entre septembre et décembre 2016.
– Pourquoi t’être inscrit.e à mon concours ?
J’ai pour but de présenter cette œuvre à une maison d’édition. Lorsque j’ai vu qu’une correction était proposée dans ce concours, j’ai littéralement sauté sur l’occasion ! Toutes les corrections qui ont été effectuées sur les chapitres me sont d’une aide précieuse dans la dernière phase de correction que je suis en train de menée. Elles me permettent aussi de progresser et de débusquer moi-même certaines erreurs de ponctuation dans mes autres histoires et pour cela, je te remercie !
– Quelle a été ta réaction lorsque tu as vu mon commentaire final positif ?
J’ai été particulièrement émue, mais aussi un peu inquiète, je dois bien l’avouer. Ton commentaire est arrivé avant le dénouement final et après cela, j’ai eu un peu peur que la fin ne soit pas à la hauteur de tes espérances. Je ne voulais pas te voir passer d’un avis si bon à une déception amère ! Maintenant, d’après ce que j’ai compris, elle ne t’a pas déçue et j’en suis soulagée ! Ton avis m’a aussi permis de conforter une idée que j’avais à propos de la fluidité des premiers chapitres de mon histoire. C’est quelque chose que je retravaille activement pour cette version finale et c’est en partie grâce à toi ! Donc merci, une nouvelle fois !
– Quelle a été ta réaction lorsque j’ai annoncé, dans le live, que ton histoire faisait partie des 5 histoires gagnantes?
J’ai versé ma petite larme face à tous les compliments que tu as fais sur cette histoire. Je sais que mes textes le démontrent peu, mais je suis ultra-sensible et j’ai la larme facile ! J’étais à la fois émue, fière et heureuse de voir l’engouement que mes personnages ont su créé tout au long de cette histoire. Réussir à toucher mes lecteurs, voila la plus belle des récompenses pour moi !
Je m’appelle « thecasty » haha (mon prénom se cache dans ce pseudo farfelu ^^). J’ai dix-huit ans. Je suis en première année de fac. J’adore lire, écrire, la mode et le chocolaaaat.
– Peux-tu présenter ton histoire gagnante ?
« Mon unique remède » est une histoire qui est plutôt simple de prime abord. Elle regorge de clichés (ooops, j’adore ça), d’amour et de sujets un peu moins cool. « Mon unique remède » est avant tout l’histoire d’une jeune styliste torturée qui va retourner vers ses racines. Dans sa ville natale, tout est lié et elle y jouera en quelque sorte son destin. J’ai essayé de décrire grosso modo sans vous spoiler non plus, je ne sais pas si c’est très réussi du coup…
– Pourquoi t’être inscrit.e à mon concours ?
Je me suis inscrite à ce concours un peu sur un coup de tête. Mon histoire me plaisait bien, j’avais de bons retours sur celle-ci. Je voyais souvent les concours d’Ecrivaine13, mais je n’avais jamais osé m’inscrire, me sentant absolument pas à la hauteur face à tous ces concurrents hors pair. Et puis, une folie m’est passée. Je me suis dit que je n’avais rien à perdre. Dans tous les cas, même si je perdais, j’avais eu la chance de participer à au moins un de tes concours. Et puis, j’aurais eu l’opportunité de te faire découvrir mon univers, mais aussi de recevoir une critique de ta part. Je t’avoue que pour moi tu es un peu une icône sur Wattpad haha
– Quelle a été ta réaction lorsque tu as vu mon commentaire final positif ?
J’ai été agréablement surprise. J’ai toujours un peu de mal à me faire confiance au niveau de l’écriture. Je ne me trouve jamais assez bien et me compare beaucoup, chose à ne pas faire je sais ^^ Donc, avoir ce retour positif de ta part m’a vraiment fait chaud au cœur.
– Quelle a été ta réaction lorsque j’ai annoncé, dans le live, que ton histoire faisait partie des 5 histoires gagnantes?
Et bien, je n’ai pas regardé le live en temps réel, j’avais complètement zappé. J’ai vu que tu avais posté les résultats sur le livre donc je me suis empressée d’aller voir, même si au fond de moi je pensais ne pas voir mon histoire figurer parmi les gagnants. Et puis, je suis tombée sur la dernière partie, le gagnant numéro 5. Je n’ai même pas fait attention qu’il s’agissait de « Mon unique remède ». J’étais déjà prête à laisser un commentaire pour les gagnants. Puis, j’ai réalisé que la couverture m’était familière. Tu parles mdrrr J’ai lu, relu, rerelu pour voir si je ne rêvais pas. A cet instant, c’était la fête dans ma tête. J’en ai parlé avec ma mère et ma sœur, tellement j’étais fière. J’ai été super émue de voir mon nom s’afficher et je ne réalise toujours pas à l’heure actuelle. Je souhaite encore te remercier et aussi féliciter les gagnants mais aussi tous les participants. On est tous gagnants en fin de compte.
Bien sûr ! Je me nomme Mona, Li_mona_de sur Wattpad, je viens d’avoir dix-huit ans et je suis étudiante. Je suis une passionnée, une passionnée tout court. J’écris depuis une dizaine d’années et je suis présente sur la plateforme depuis quelques temps également. Mon premier roman édité paraîtra courant de l’année chez Homoromance éditions.
— Peux-tu présenter ton histoire gagnante ?
Il s’agit d’un roman de médiévale fantaisie. Pas de dragons et de bêtes féroces, rien qu’un monarque qui n’a jamais prétendu au trône. Un certain Lyssandre de Loajess qui n’aurait jamais dû succéder à son frère. Il est le fils dernier né du souverain et a été élevé comme le prince rêveur et idéaliste qu’il était, sans la moindre formation militaire et politique. Son frère est mort à la guerre, son père d’une maladie, et le voilà seul face à ses responsabilités. Son Royaume est épuisé par la guerre, la Cour regorge de complots et lui n’est guère plus que l’enfant égaré d’autrefois. Ce roman, qui est en fait une saga, suit son règne. Un règne qui met en lumière la perversité et l’ambition des courtisans et une romance. Une romance inattendue qui fera peut-être le bonheur de ce jeune monarque !
— Pourquoi t’être inscrite à mon concours ?
Je connais tes concours puisque j’y ai participé à plusieurs reprises. Je savais dans quoi je m’embarquais et je savais surtout que j’aurais des retours constructifs (et des corrections, elles me sont extrêmement précieuses) sur mes histoires. C’est ce que je recherche dans les concours auxquels je participe, en plus du sérieux de son organisatrice. Encore une fois, je n’ai pas été déçue !
— Quelle a été ta réaction lorsque tu as vu mon commentaire final positif ?
Dans le cas de Longue vie au roi, je ne l’ai pas vu puisque j’étais la dernière histoire lue (ou l’une des dernières). J’étais donc très stressée pendant le live et en voyant que tu t’étais arrêtée avant la fin, je suis partie du principe que tu n’avais pas accroché. Disons que ça a été une énorme surprise ! Pour Cueillir les étoiles, qui a remporté un prix spécial, j’étais agréablement surprise. Il faut dire que j’attends toujours tes avis avec impatience et un brin d’appréhension. Je crains toujours une déception et constater que deux de tes histoires avaient trouvé grâce à tes yeux a été vraiment une énorme surprise. Je t’en remercie encore du fond du cœur.
— Quelle a été ta réaction lorsque j’ai annoncé, dans le live, que ton histoire faisait partie des cinq gagnants ?
Ma réaction ? Je tremblais comme une feuille, un sourire béat (et un peu idiot) sur les lèvres. Je n’y croyais pas ! Tes compliments m’ont fait énormément plaisir et les commentaires de tous ceux qui assistaient au live également. J’étais extrêmement heureuse que tu aies autant aimé mon roman, j’espère le proposer un jour à l’édition, alors c’était tellement rassurant de t’entendre en parler de manière si élogieuse. J’ai regardé à nouveau le live ce matin pour être parfaitement certaine que je ne rêvais pas ! Mille mercis !
J’ai 21 ans et je suis étudiante en Économie-Gestion en Bretagne. J’aime écrire depuis toujours, mais ça ne fait que quelques années que je m’y suis mise sérieusement. Un peu trop émotive, je me défoule en noircissant des pages.
– Peux-tu présenter ton histoire gagnante ?
Mon histoire parle d’une jeune femme, impulsive et rêvant de liberté, qui n’a pas d’autre choix que de vivre la vie qu’on lui a tracée : devenir un jour reine. Comme tous les membres des familles royales du globe, elle est modifiée génétiquement pour cela, grâce à une force mystérieuse. De moins en moins à l’aise dans sa condition, ses rebellions la mèneront à découvrir son pays, à se lier d’amitié avec un apprenti garde, à se rapprocher de son fiancé, à s’opposer au pouvoir. Mais ça ne sera pas suffisant pour ne pas devenir un des rouages dans les plans de la grande reine, sa mère, dans l’unique but garder la couronne.
J’ai écrit cette histoire en deux ans. C’était mon premier gros projets. J’ai été lente, j’ai fait des erreurs, mais surtout, j’ai énormément appris.
– Pourquoi t’être inscrit.e à mon concours ?
Je me suis inscrite pour avoir un avis objectif sur mon histoire. La plupart de mes autres lecteurs étaient des amis et des personnes avec qui j’échangeais de avis. Il me manquait une critique objective. Bien sûr, j’espérais voir que mon histoire valait quelque chose. Le concours était loin de ceux qui notaient les histoires à hauteur de 40% sur la couverture, le titre, le résumé etc. Ce concours me donnait vraiment l’impression que je serais notée sur mon histoire et rien d’autre. De plus, entre les corrections, ton expérience et les critiques, je me devais de tenter ma chance.
– Quelle a été ta réaction lorsque tu as vu mon commentaire final positif ?
Honnêtement, j’avais un peu peur de recevoir ce commentaire. J’ai pris des tournants audacieux dans mon histoire et certains de mes lecteurs ne l’ont pas bien pris (trop violent psychologiquement à leur goût). Ton commentaire a été une délivrance pour moi, qui avait eu peur de poster les derniers chapitres. Bien sûr, j’avais eu beaucoup de commentaires positifs, mais le tien m’a enlevé un poids. J’étais vraiment heureuse de voir ton commentaire, qui soulignait des erreurs dont j’avais conscience et des points positifs qui me tenaient à cœur. J’avais peur, au vu de ton niveau de professionnalisme, que mon histoire ne soit pas assez « scolaire », alors ça a été une belle surprise.
– Quelle a été ta réaction lorsque j’ai annoncé, dans le live, que ton histoire faisait partie des 5 histoires gagnantes?
Je ne m’y attendais pas. J’espérais, bien sûr, mais je croisais les doigts pour l’un des prix spéciaux. Alors imagine ma surprise ! Ça faisait si étrange d’entendre quelqu’un dire le nom de mon histoire, comme s’il était apprécié en tant que tel. Ça me faisait bizarre d’entendre quelqu’un en parler comme si c’était « un vrai livre ». J’ai littéralement bondi de joie et j’ai crié à mon frère « J’AI GAGNÉ ! » et comme il ne savait pas de quoi je parlais, il m’a prise pour une folle.
4 histoires très bien écrites, 4 histoires que je vous conseille. Elles m’ont fait vivre des émotions fortes, m’ont fait vibrer et rêver ; il n’y a aucune raison de ne pas les découvrir !
On se retrouve très bientôt pour la deuxième partie de cet article, avec la dernière grande gagnante et les prix spéciaux !