Aujourd’hui, on se retrouve pour une courte chronique sur la nouvelle que j’ai lue récemment, Brume, de Stephen King. Étant fan d’horreur, de mystérieux et de suspense, il était impensable pour moi de ne pas acheter cette nouvelle lorsque je l’ai vue dans un magasin grande surface.

Titre : Brume
Auteur : Stephen King
Genre : Fantastique/Horreur/Suspense
Nombre de pages : 285
Maison d’édition : Albin Michel
Résumé : Après un violent orage, la ville de Bridgton se retrouve encerclée par un bloc de brume opaque et menaçant. Piégés dans un supermarché, Billy et son père comprennent vite que l’horreur qui se cache dans ce brouillard n’est que le reflet de celle qui vit dans le coeur des hommes.
Mon avis
J’ai débuté cette nouvelle en plein confinement et ce n’était franchement pas la meilleure idée, puisque les personnages sont confinés dans un supermarché et l’extérieur est rempli de monstres… Au moins, la lecture a été très divertissante, et c’est ce qui compte.
Le début a été un peu long à mettre en place, à mon avis, j’ai trouvé certaines pages pas nécessaires utiles à la nouvelle. Toutefois, dès que la brume s’installe, l’action commence (à notre plus grand bonheur !). Je n’ai pas lâché le livre de la soirée, malgré l’heure tardive ; je peux vous dire que je me suis couchée tard !
L’histoire est assez terrifiante en ces temps de confinement. En effet, une étrange brume blanche épaisse s’installe sur la ville tandis que les personnages principaux se trouvent au supermarché, et chaque personne qui ose s’aventurer dehors disparait dans des hurlements effroyables. Puis, des événements étranges s’enchainent, les dissuadant de sortir. Pourtant, il va bien falloir sortir…
Vraiment, moi qui ne suis pas fan de nouvelles, j’ai adoré celle-là. Elle est tout de même assez longue, on peut même la qualifier de court roman. Du coup, on a le temps de s’attacher aux personnages, de vivre un tas d’émotions et de pleurer quand un personnage meurt… parce que, oui, il y aura des morts (c’est tout de même du Stephen King !).
La seule chose que je déplore, c’est la fin très ouverte. Je sais que dans une nouvelle, ce n’est pas toujours évident de tout fermer les intrigues narratives, mais en refermant le livre, je n’ai pas eu l’impression que l’histoire était terminée. J’aurais aimé en avoir un peu plus !